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Ajouter un ballon au gaz a une chaudière a accumulation
Suite a une demande sur le forum j’ai du faire un schéma de base pour jumeler un stix « ballon au gaz » avec une chaudière a accumulation,avec bouclage intégré.Dans cet exemple il s’agit de basculer la demande d’eau chaude sur le stix « ballon au gaz » lorsque la chaudière n’arrive pas a fournir ponctuellement, donc dans notre exemple il n’y a pas de vannes ni des bi-pass permettant d’isoler tel ou tel production.

Bien sur que d’autres possibilités existent, il est même possible allumer le stix (s’il s’allume automatiquement) selon la température de l’échangeur.
Il est aussi possible d’alimenter l’échangeur depuis le styx si la température de l’échangeur n’est pas suffisante.
Bref il a l’embarras du choix de possibilités.En ce qui me concerne je pense que cette solution est la plus économique a l’installation et celle qui offre le meilleur résultat, mais attention il faut quand même ajouter des vannes d’isolement afin de pouvoir intervenir sur une ou sur l’autre production sans arrêter la totalité de la production d’eau chaude.
Comme expliqué au dessus, voici des images du système autonome, avec stockage dans le panneau solaire.


Sur résistances stéatite équipés du module ACI
Nous trouvons une vue globale d’un ballon de type stéatite ACI, comme nous pouvons noter sur l’image, le thermostat est dépourvu de molette de réglage, car cette mollette se situe dans un endroit non accessible sans démontage.

Dans la deuxième image nous pouvons bien voir la molette de réglage (de couleur verte), une fois le thermostat démonté de son logement.

Ajout d’une image dans un ballon différent

Sur résistances stéatite aussi appelés thermogainé
Il existe plusieurs modèles de thermostats qui sont propres a chaque marque, chaque modèle et a chaque taille de ballons, ainsi chaque fabricant dispose de matériel de telle ou telle forme malgré que la finalité soit toujours la même.

Réglage de la température sur les ballons de grande surface de bricolage ou magasins discount.
Voici l’aperçu du mécanisme de chauffe. Dans ce cas pécis il s’agit d’une résistance stéatite

Puis voici le thermostat, ils ne sont pas obligatoirement identiques a celui-ci mais il y a des fortes chances qu’il le soit.

Sur résistances blindés (plongés d’ans l’eau)
On accède ensuite à une vis de réglage qui a souvent l’aspect d’une rondelle en plastique au milieu de laquelle se trouve une fente qui permet de la tourner de droite à gauche à l’aide d’un tournevis afin d’effectuer un réglage de la température du ballon d’eau chaude

Comme chaque appareil est plus ou moins identique au niveau du réglage, voici comment procéder: Enlever le couvercle de votre ballon en dévissant la ou les vis, puis chercher un réglage identique a celui de l’image, la mollette rouge s’il y a une position économique respectez la, sinon positionnez le curseur à environ 75% de sa course.
Cette rondelle est graduée le plus fréquemment de 1 à 5 ou du signe + à -, il suffit alors de diminuer ou d’augmenter la température en fonction du degré d’eau que l’on souhaite.

Dans certains cas la mollette de reglage est munie d’une seconde graduation.
- « deux points (..) » Équivaut au mode économique soit environ 55°C
- « trois points (…) » Équivaut a la position maximale soit environ 65°C
Régler la température d’un ballon electrique
Avant d’effectuer un réglage de température sur un ballon d’eau chaude, il est conseillée de couper l’alimentation électrique de ce dernier et de la réenclencher seulement quelques heures après la modification, notamment si vous diminuez la température de l’eau.
Le réglage de température se fait au niveau du thermostat du cumulus et il se situe généralement dessous le ballon derrière une petite trappe qu’il faut dévisser à un ou deux endroits, selon modèle.
Les chauffe-eau de grande capacité sont généralement, alimentés en tarif nuit, donc il faut attendre 24 heures pour que le nouveau réglage se répercute dans l’eau.
Dans le cas ou le réglage consiste a l’augmentation de la température, il est possible de positionner le commutateur en marche forcé pour voir le réglage se répercuter assez rapidement, généralement 2 ou 3 heures après
Pourquoi régler le chauffe-eau a environ 60C°La légionnelle, responsable de la légionellose, est une bactérie présente naturellement dans l’eau et que l’on retrouve dans les canalisations d’eau. Sa prolifération constitue un très grave danger pour la santé publique. La contamination se fait par inhalation.
[h]Les raisons les plus fréquentes d’une prolifération dangereuse de la bactérie sont :[/h]
- Température de l’eau chaude trop basse.
- Stagnation de cette eau dans les circuits.
- Sédimentation et entartrage des canalisations
La bactérie se développe dans un environnement a ou la température de l’eau est comprise entre 20C° et environ 40C°, donc partir de 40C° la bactérie cesse de se reproduire mais n’est détruite, que lors que la température de l’eau atteint 60°C (destruction en +/- 30 minutes). alors il est convenable que votre cumulus soit réglé a une température d’environ 60°C.
Ces qui connaissent le fonctionnement des ballons ACI-dynamiques, justifieront par ce paragraphe leur monté en température périodique.
Pour la distribution mieux vaut équiper le sortie du cumulus par une vanne thermostatique et la régler a température souhaité, moyennement 50°C, ceci afin d’être en conformité avec la sécurité anti-brulure.
Si toutefois votre cumulus a atteint une température vraiment trop élevé, il est possible qu’il se soit mis en sécurité… Si c’est votre cas, veillez réarmer le thermostat en appuyant avec une stylo sur le point rouge, indiqué sur l’image.
Si votre pièce est différente et vous ne savez pas comment faire, posez votre question sur le forum, vous pouvez aussi poster une image de votre appareil au moment de la saisie de votre message…
Types de résistance
Résistance THERMOPLONGÈE ou BLINDÈ
Ce type de résistance est la moins chère

Ci dessus une résistance blindé (THERMOPLONGE) qui est plongé dans l’eau , convient pour tous types de ballons signalés dans le cadre ci-dessus dans case termoplongé.
Convient aussi pour les eaux douces et dures (voir ici) , car c’est le modèle le plus sensible a l’entartrage, et l’intervention sur ce type de résistance engage le vidage complet du ballon.
STÉATITE ou THERMO-GAINÈE
Ce type de résistance est de côut moyen

Elle est constituée de filaments métalliques spiralés sur une colonne de pierre réfractaire.
Cette résistance est insérée dans un fourreau étanche en acier émaillé. Ainsi elle reste a l’abri de tout entartrage, et son remplacement ne nécessite pas la vidange du chauffe-eau.
Ce type d’appareil est de cout moyen.Convient pour tous types d’eau sauf l’eau tres dure, le changement ou réparation de la résistance, se fait sans vider la ballon.
ACI-dynamique

ACI: Muni d’une résistance Stéatite il présente l’avantage d’avoir un système anti-corrosion intégré par l’action d’une anode a courant imposé.
Une remonté régulière en température a plus de 60°C permets de lutter efficacement contre les légionelles.
Ce type d’appareil est de cout élevé, compte tenu des avantages qu’il présente.
Et enfin je voudrais rappeler que les ballon de type Stables (posés au sol) sont plus chers que les autres types de pose et cela quel qu’en soit le type de résistance.Le voyant intégré permets de s’assurer du bon fonctionnement du thermostat.
La consommation électrique
Nous prenons ici l’exemple d’un cumuls de 200litres branché automatiquement sur le tarif nuit
Il chauffe entre 6 et 8 heures par nuit au prix de 0,0734 €/kW (prix du kWh en heures creuses ) soit 2,2 KW x 7 (heures de fonctionnement par nuit) = 15,4 (KW) x 0,0734 (prix du KW en heures creuses) = 1,13 EUR par nuit ce qui sur 365 jours représente 412,58 EUR.
Ballons de taille différente.
100 litres = 1100Watts x 7 heures de fonctionnement = 7,7 KW x 0.0734 €/KW = 0,56518€.
1 litres d’eau chaude = 11watts x 7 Heures de fonctionnement = 77 Wats x 0.0734 €/KW =0,0056518 €, cela paraît minime mais multipliez ce chiffre en gras par le nombre de litres consommés et vous verrez que cela commence a monter assez rapidement, imaginez que vous êtes 5 a la maison et que chacun consomme les 50 litre (normalisés) journaliers, cela fait: 50 lites x 5 personnes = 250 litres x 0,0056518 €/Litre = 1,41295€ auxquels il faut ajouter le prix de l’eau.
Ces prix n’incluent pas le prix de l’eau, c’est seulement l’énergie dépensé au réchauffement de l’eau.
Dimensionnement
Nous ne parlons pas ici des cotes extérieurs des ballons, mais de la capacité en litres, pour les cotes sachez que les ballons font entre 47 et 57 cm de diamètre x longueur variable, selon les modèles et fabricants.
Pour connaître la capacité du ballon a installer multipliez le nombre de personnes de votre foyer par 50, (50 étant le nombre de litres consommés quotidiennement par une personne, toutes tâches confondues, en moyenne).Les capacités couramment installées.

PuissanceUne résistance électrique doit faire environ 11 Watts par litre,ce qui représente pour un ballon de 100 litres 1100 W et pour un de 300 litres 3300 W (ces données peuvent varier selon les constructeurs).
Soudage autogène
Pour la réparation et la fabrication d’objets en fer (portail, balcon, charpente métallique).
Soudure à partir de 1500°C jusqu’à 3 000°C (selon matériel) avec un métal d’apport de même nature que les matériaux des pièces à souder. (fer sur fer, alu sur alu).Ce type de soudage est la rentre en fusion des parties a assembler avec le métal d’apport, c’est ce qui se faits generalement sur l’acier noir des installations de chauffage.
C’est l’équivalent de la soudure a l’arc.
[video]http://youtu.be/RmV2yn5mwCU[/video]
Le soudo-brasage.
On appelle couramment cette soudure la jaune generalement utilisé pour souder les aciers, le galva et la fonte.
Se type de soudure rentre en fusion aux alentours de 1500°CIl est aussi possible de souder le cuivre avec ce matériel, c’est une soudure assez polyvalente qui peut être utilisé dans plusieurs cas, lorsque on fait une reprise de chauffage acier avec du cuivre, on utilise cette brasure pour braser le cuivre sur l’acier.
On appelle aussi la soudure a la goute.
Ce matériel est très cher, compte tenu des innombrables possibilités qu’il présente.
Voici des exemples
Un trou sur le cuivre

Cuivre sur acier

Laiton sur acier voir la discussion → https://plombiers-reunis.com/topic948-brasure-cuivre-acier.html
Sur acier/acier
Voir ici la discussion concerné, (merci madake).


Sur galva ancien/nouveau

Le brasage fort
Pour la plomberie et les canalisations de gaz (cuivre sur cuivre) et (cuivre avec laiton) . Il s’agit d’une soudure aidée d’un flux décapant et d’un métal d’apport en cuivre ou argent dont le point de fusion est autour de 700°C.
Dans cette famille de brasure, on peut trouver des brasures plus ou moins tendres pouvant atteindre le point de fusion compris entre 650°C pour les plus tendres et 800 voir 850°C pour les plus dures.
Matériel de brasage
Pour braser avec ce type de brasures il conviens de se munir d’un chalumeau oxyacétylénique, pour sa rapidité.
Mais il est tout a fait possible de braser avec une lampe a souder au propane comme dans les vidéos suivantes.
Le décapantCe type de brasure contiens deja un minimum de décapant qui permets de braser cuivre avec cuivre, pour les brasures avec cuivre et laiton il faut ajouter du décapant.
Sur les installations gaz il est obligatoire d’utiliser une brasure qui contiens au minimum 6% d’argent.
Il n’est pas obligatoire mais c’est recommandé d’utiliser du decapant sur les brasures gaz, même sur les brasures cuivre/cuivre, car le décapant rends la brasure plus fluide et permettras de la faire s’étaler tout au long de l’emboiture.Voici une vidéo d’une brasure de tuyau cuivre basique avec propane
https://youtu.be/vX4gidImC1ALe bouclage d’eau chaude sanitaire
Comment et dans quels cas réaliser un bouclage?
Une installation d’eau chaude bien faite, ne doit contenir que très peu d’eau chaude entre la production et le point d’utilisation, la réglementation impose une contenance maximale de 3litres dans les installation collectives, bien que cette norme sera bientôt revue avec les nouvelles réglementation thermiques.
Pour les installation individuelles, « je ne connais pas la réglementation précise mais couramment on apique les règles suivantes »cette contenance est limité a 0,5litre pour les points de puisage a usage fréquent et de 1litre pour les points de puisage a utilisation occasionnelle. A partir de ces contenances il vaut mieux utiliser un bouclage, Il faut savoir que le boucle est aussi une question de confort.
Qu’est-ce que c’est le bouclage
Lorsque l’ont ferme un robinet d’eau chaude, le tuyau qui alimente ce dernier reste plein d’eau chaude, qui va a son tour se refroidir progressivement, perdant ainsi l’énergie nécessaire a l’échauffement de l’eau contenue dans ce tube, puis a nouveau a l’ouverture du robinet cette eau qui est devenue froide sera perdue en attendant que l’eau chaude revienne a nouveau, cette perte se répète a chaque ouverture du robinet, selon la distance entre le point de puisage et le point de production cette perte peut être plus ou moins importante.

[h]Le puits canadien[/h]
Le puits canadien, qu’est-ce que c’est, a quoi il sers?
En plein hiver, la température de la terre a environ 80cm de profondeur est d’environ 4°C et même s’il fait -8°C de température ambiante.

L’objectif principal du puits canadien consiste a récupérer cette chaleur, de la manière suivante, un conduit de longueur et profondeur variable est installé dans votre jardin, puis l’air passe dedans et se réchauffe a température ambiante souterraine avant d’aller ventiler votre maison, au lieu de ventiler votre maison avec de l’air gelé a -8°C, ce système vous garanti une économie de chauffage d’environ 12 a 15%, garanti et le prix de son installation n’est pas exorbitant.
En résumé, il s’agit de pré-chauffer l’ai en le faisant passer sous terre, de manière a récupérer ces calories gratuites du sous sol, dans certains cas ce système peut être vraiment rentable, tout dépend de la profondeur du circuit de ventilation souterrain.
Plus le circuit est profond et plus la température de la terre est élevé.
Les règles d’hygiène à observer sont :
[list=*]
[*]Utilisation d’un filtre sur l’entrée d’air classe G2 minimum et d’une grille contre l’introduction des rongeurs, volatiles ou insectes.[/*]
[*]Emplacement de la prise d’air éloigné des sources de pollution comme les gaz d’échappements, compost etc. et à l’abri du vandalisme.[/*]
[*]Les tuyaux employés doivent être de qualité alimentaire, lisse à l’intérieur et de préférence sans raccord.[/*]
[*]Pente de 2 % minimum pour permettre l’écoulement des condensats.[/*]
[*]Système fermé pour éviter l’inondation du réseau en cas de remontée de nappe phréatique ou d’orage.[/*]
[*]Nettoyer au moins une fois tous les 5 ans l’échangeur d’air géothermique.[/*]
[/list]Exemples d’installations

Si vous avez plusieurs étages ou même plusieurs nourrices sur le même niveau, je vous conseille la méthode suivante au lieu d’alimenter les nourrices secondaires depuis les bouts des nourrices principales.

Table de conversions des pouces Gaz en millimètres
Le code pénal français interdit l’utilisation d’unités de mesure différentes de celles établies par les lois et règlements en vigueur (article R643-2), ceci afin de garantir une information juste du client (possibilité de comparer avec une échelle connue de tous).
Les vendeurs contournent la loi en prétextant qu’il s’agit d’une « classe » d’objets et non pas de l’indication d’une dimension. Le système d’unité des pouces est encore bien présent dans nos sociétés. Ceci n’est pas forcément un problème si on sait en faire la conversion en unité du système international.
L’uniformisation de 1958 a quand même permis d’unifier la grandeur du pouce, ce qui a simplifié les conversions et les compatibilités. Il y a néanmoins encore une exception répertoriée ci-dessous.
Les dimensions des tubes et des filetages dans le domaine de la plomberie (eau ou gaz) sont aussi données en pouces. Cependant ce pouce-ci ne vaut pas 2,54 cm : 1 pouce gaz vaut environ 3 cm
La majorité des pays qui utilisaient le pouce ont aujourd’hui adopté le système international d’unités. Le pouce est encore une unité de longueur du système d’unités de nombreux pays dont, en particulier, le Royaume-Uni et les États-Unis.
En effet, même si la plupart des pays issus des colonies britanniques, et le Royaume-Uni lui-même, ont décidé d’adopter le système métrique, on constate en 2004 que la transition n’est effective qu’au sein des milieux scientifiques.
Le pouce reste utilisé pour certains usages courants et concernant les objets de petite taille. Certaines petites longueurs sont exprimées dans cette unité ou en fraction de cette unité.
C’est le cas par exemple pour :- les tailles des vêtements ;
- les dimensions standards des feuilles de papier U.S., Mexique et Canada (lettre : 8½×11″; légal : 8½×14″) ;
- la visserie et la boulonnerie en utilisant les fractions du pouce (1/16, 1/8, 3/16, etc.) ;
- le diamètre des peaux de batterie ;
- les calibres de certaines munitions ;
- les tailles des roues et des pneus des véhicules ;
- les tailles de planches de surf et de bodyboard ;
- les matériaux de construction domiciliaires, et par conséquent les plans
- Les écrans, et diverses pièces informatiques, ETC….

Page issue du l’encyclopédie libre et gratuite wikipédia
[h]Tableau d’équivalences mesure Francaise et Anglaise Millimètres-Pouces[/h]

Les diamètres du chauffageSur les installations de chauffage les diamètres sont en fonction de la puissance de chaque radiateur,
Afin de bien déterminer sur quel point du réseau installer tel ou tel radiateur, il est souvent utile de dessiner un schéma, en plaçant sur ce dernier les radiateurs avec leur puissance.
Les calculs doivent se faire en partant du radiateur le plus éloigné vers la chaudière en augmentant les diamètre au fur et a mesure que les puissance est additionné, sachant que chaque radiateur doit être pris sur le tube le plus épais puis la réduction se fait juste après l’alimentation de chaque radiateur.
Il existe une règle permettant ces types de calculs, mais ici nous allons, prendre les diamètre couramment utilisés cela évite a chacun a se creuser la tête a calculer lui même ces diamètres.
Nous retenons donc le diamètre intérieur des tubes, comme chaque type de tubes est différent il appartiens a l’utilisateur de prendre le diamètre le plus approchant en prenant toujours en compte le diamètre intérieur du tube.
Ces diamètres sont les plus utilisés couramment on est parfaitement conscients que ces diamètres sont surdimensionnées. Force est de constater qu de nous jours certains modèles de chaudières murales de 28KW sont équipés des sorties de cuivre en Ø18/20 et certaines de 24Kw en cuivre de Ø16/18.
- Jusqu’à 1500 Watts, = Ø 10
- De 1500 W à 3300 W = Ø 12
- De 3300 W à 5000 W = Ø 14
- De 5000 W à 7000 W = Ø 16
- De 7000 W à 13000 W = Ø 20
- De 13000 W à 19000 W = Ø 23
- De 19000 W à 26000 W = Ø 26
- De 26000 W à 49000 W = Ø 33
Comment calculer
Par exemple: sur une ligne où se trouvent deux radiateurs. Le plus éloigné fait 1500W le tube sera du Ø10(intérieur) en revenant vers la chaudière, le second radiateur fait 3000W, il sera piqué en Ø12 (intérieur) et les tubes qui alimentent ces deux radiateurs deviennent 3000+1500=4500W soit un diamètre de Ø14 (intérieur).>J’attire l’attention du lecteur sur le point suivant: ces diamètres étaient valables pour les premières installations sans circulateur, de nous jours, toutes les installations sont équipés d’un circulateur, on peut voir aussi que les chaudières sont généralement équipés de sorties de diamètre 16/18, donc je ne vois pas vraiment l’utilité d’utiliser des diamètres supérieurs a 20mm intérieur pour des installations individuelles.
Il m’est arrivé de faire des installations avec 18 radiateurs et le tuyaux le plus gros que j’ai utilisé était du cuivre de 20/22.
Après chacun fait ce qu’il veut dans sa propre installation.J’ai réalise il y a quelque temps une installation de 17 souffleurs qui étaient alimentés avec de l’eau très chaude et a ma grande surprise, la totalité du réseau a été faite en tuyaux d’acier noir de diamètre 15/21.
RuaJosé s’est donné la peine de poster des abaques dans les différents posts, je me suis permis de les copier ici. Il s’agit simplement de regrouper l’information pour faciliter la lecture .
Abaque pour les tuyaux per

Légende de l’image- colonne verticale= débit d’eau
- ligne horizontale= perte de charge
- ligne oblique bleu= diamètre des tubes
- autres lignes obliques= vitesse de l’eau
on voit sur l’exemple que dans un tube de 16/20 on passe 300 litres d’eau à une vitesse inférieure à 0.5 m/s pour une perte de charge de 20 mm/ml pour de l’eau à 10°c
300 L/mn en chauffage par radiateurs ça nous fait: 6960wattscalcul pour déterminer le débit d’un radiateur ou d’une chaudière:
- puissance en watts / 1.16 (1.16 = conversion de Watts en Calories) /Delta radiateur=Quantité de litres / minute
- un radiateur de 1500w/min
- 1500/1.16/20=64.65 litres/min
- Dans cet exemple on prends une température Delta20°C.
pour les collecteurs il suffit d’additionner les débits de chaque radiateurs.
Voici un autre exemple posté par RuaJosé concernant les pertes de charge sur les tuyaux de cuivre
il existe bien des abaques et logiciels pour définir les diamètres de tuyauterie de chauffage, il faut tenir compte de plusieurs paramètres qui sont liés les uns aux autres.
par exemple: le delta T entre le départ et le retour sert à calculer le débit du radiateur en fonction de sa puissance, qui est aussi dépendant de la vitesse de circulation, qui est dépendante des pertes de charges qui augmentent avec la vitesse.

exemple: un radiateur de 2000w
- Pw/1.16/delta T=debit (l/mn)
- 2000w/1.16/20°c=86.2 l/mn
- 2000w/1.16/15°c=114.9 l/mn
- 2000w/1.16/10°c=172.41 l/mn
on voit bien dans cet exemple que pour avoir un delta T faible entre départ et retour, il faut augmenter le débit dans le radiateur sinon on risque d’avoir un radiateur chaud en haut, et froid en bas.
Donc pour une installation actuelle de 10608 watts (sans le radia n°7) avec un delta T de 15°c il nous faut 610l/mn au total départ chaudière.
dans le tableau ci dessous en lecture directe pour du tube de cuivre ( j’ai pas sous la main pour du PE, mais la rugosité interne est sensiblement identique)
-en prenant colonne de gauche 16mm par mètre de perte de charge ( c’est la moyenne raisonnable)
-pour un débit de 660l/mn on est à une vitesse (normale) de 0.6m/s pour un diamètre de 20 mm intérieurje sais pas si j’ai été bien clair, mais voilà comment on calcule.
après concernant les essais de pression chacun fait ce qu’il veut, si on est sûr de son coup ou pas.il faut évaluer les dégâts s’il y a une fuite et qu’il faut tout casser pour refaire, et en contre partie que faut-il faire et combien ça coûte pour être sûr à 100%.
des fois il suffit de mettre des bouchonnages provisoires pour les essais qui peuvent être faits à l’air comprimé, si c’est plus simple.Sorties murales pour les installations encastréss
Il existe deux type de sorties de cloison exclusivement pour installations encastrés que ce soit en tubes Per ou multicouche.
Les sorties pour les cloison pleines, elles se montent dans une boite plastique qui doit être scellé, dans laquelle viens se fixer la sortie de cloison a l’aide de deux ou trois vis.
Ce type de boites de scellement isole complétement le raccord de tout contact avec le matériau de scellement.
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Les sorties de cloison pour cloisons creuses, comme placo-style, ou cloison creuse.
Voir exemple de sorties de cloison creuse ou placostyle ici.
Ces sortie de cloisons se fixent sur la cloison a l’aide d’une platine de maintiens, cette platine su fixe sur la cloison, a hauteur désiré les sorties de cloison son fixés sur la platine.



Sorties de cloison pour tubes cuivre soudés.
Tout d’abord, il faut tracer l’emplacement exacte du robinet, s’il s’agit d’une baignoire, je place toujours les sorties a l’axe de la baignoire selon ses dimensions 70, 75, 80, ou 90 Cm, voir plus pour les baignoires déformés, arrondies ou d’angle ou encore pour les robinets a la demande du client.
Puis pour la hauteur je pose les sorties a 67 cm du sol pour les baignoires standard et pour les douches je les pose a 120 ou 125 cm du sol selon la hauteur de la vidange disponible.





Attention, il ne faut pas utiliser des raccords mécaniques sur les installations encastrés, pour cette raison, les sorties murales en cuivre se limitent aux installation soudés, les installation avec raccords olive (bicones), ne doivent pas être encastrés.
← Retour vers le sommaire des raccords et nourricesLes raccords a compression « démontable »

Les raccords a compression, sont aussi apellés Ritigrip, Sertigrip, etc…, bref peut importe le non qu’on leur donne, il existe aussi plusieurs type de raccords de ce genre, leur différence réside dans le manière de de comprimer le tube sur le raccord afin de le maintenir et de faire l’étancheité.
Ils ne nécessitent que deux pinces ou clés plates pour leur mise en service, certaines marques requièrent
une clé spécifique qui permets de visser le raccords « aussi appelé carotte » a l’intérieur du
tube, mais son cout reste modique, environ 5€ dans les magasins de bricolage, c’est généralement la marque Rétigrip qui propose ce système maison.Une image de démonstration est présenté en bas de cette page.
Ce type de raccords est relativement cher, et est seulement conseillé pour un raccordement ou liaison entre deux types d’installation ou pour une petite installation avec quelques raccords.
Mise en œuvre des raccords rétigrip ou raccords vissés dans le tube



Personnellement je n’ai jamais utilisé ce type de raccords, bien qu’ils peuvent s’avérer pratiques, si l’on a besoin d’une quantité vraiment limité compte tenu de sont prix il vaut mieux se rabattre sur d’autres possibilités de raccordement, notamment les raccords a glissement.
Les raccords Axial « glissement »

Les raccords Axial plus couramment appelées « a glissement » sont quasiment aussi fiables que les raccords
Radial, ils peuvent être plus ou moins camouflés dans des gaines techniques ou dans des endroits non visiblesL’outillage necessaire a sa mise en service est de cout moyen entre, 50€ les pinces d’entrée de gamme et
environ 500€ pour des pinces de grande marque, c’est certainement le type de raccords le plus utilisé, car leur fiabilité n’est plus a prouver.Bien que la méthode de sertissage soit toujours la même, quelque que soit la marque du raccord, il est possible de trouver des incompatibilités entre certaines marques, compte tenu de l’épaisseur de la paroi du tube qui peut être légèrement differente sur certaines marques.

[h]Utilisateurs de tuyaux multicouche, attention aux raccords Axial…[/h]
Ce type de raccords n’existe pas pour tous les tubes multicouche, seulement certains fabricants en proposent, car la paroi des tubes multicouche n’est pas tout fait standardisé.
Pour cette raison très peux de vendeurs proposent ce type de raccords pour le multicouche.Notamment le site de vente en ligne « anjou-connectice » vend ce type de raccords avec des tubes qui vont avec.
Le seul inconvénient réside dans le fait que: ces tubes ne sont pas standard, ils on une différence de diamètre, on ne les trouve que chez ce vendeur, ce sont de tubes et raccords de marque BARBI, cette marque utilise les même raccords entre le multicouche et le per.

Plus en détail.

Diamètres pour l’alimentation de chaque appareil sanitaire

Pour faire court je joints une image avec ce qui se fait couramment avec tuyaux per, diamètres exterieurs.

Diamètres d’alimentations des maison ou réseaux collectifs
Chaque appareil individuel est affecté d’un coefficient suivant le tableau ci-dessous.
La somme des coefficients permet avec le graphique de déterminer le diamètre minimal d’alimentation et distribution de votre réseau d’eau potable, veillez prendre en compte que ces graphiques sont valables a partir de deux appareils minimum.
Puis pour les alimentations de réseaux collectifs, il faut se baser sur la méthode de flamand, mais ces calculs ne sont pas nécessaires au petit installateur qui va visiter ce site, c’est plutôt aux bureaux d’étude de réaliser ces calculs.


Prenons exemple d’une maison individuelle avec les appareils sanitaires suivants.
[list=*]
[*]1 évier = 2,5 [/*]
[*]2 Machines 2×1 = 2[/*]
[*]2 WC 2 x 0,5 = 1[/*]
[*]1 baignoire 180litres = 3,3[/*]
[*]1 douche = 2[/*]
[*]2 lavabos = 2×1,5 = 3[/*]
[/list]Soit au total un coefficient de 13,8, on arrondi au coefficient supérieur soit 14, en regardant sur l’abaque on se rends compte que nous avons besoin d’un diamètre intérieur de 20mm pour l’alimentation générale.
Au dela d’un diamètre de 20mm il faut passer a la méthode colonne d’eau collective qui prends en compte la simultanéité d’utilisations des appareils .

En réglè generale, « en région parisienne » les alimentions d’eau sur les maisons individuelles et petits immeubles, sont faites en polyéthylène de diamètre 19/25 avec une pression variable entre 4 et 8bars, avec cette alimentation il arrive parfois que plusieurs appartement soient alimentés sans que personne ne manque d’eau.
En résumé une alimentation de diamètre 20mm avec 4 bars de pression est suffisante pour alimenter n’importe quelle maison individuelle.
Les passages des tuyaux
On trouvera l’avis CSTB concernant la pose de tuyauteries, en téléchargement au bas de ce post.
Tous passages des tubes dans des endroits susceptibles de geler (locaux non chauffées) il est impératif d’isoler les tubes.
D’ailleurs nous conseillons d’isoler tous les tuyaux d’eau chaude et bouclage (s’il existe) quel que soit leur emplacement.Pour les passages dans les sols avec chauffage par le sol, il faut réaliser une chape de ravoirage pour recouvrir les
tubes et gaines électriques avant de poser le sol chauffant.
Comme ceci.

Dans le cas ou il n’y a pas chauffage par le sol, il faut passer le tuyaux et gaines sous la chape de finition, (prévoir chape plus épaisse).
Pour les dalles au sol, ne jamais passer les tuyaux sous l’isolant, il est préférable de les passer sur la dalle et avant la chape.
Quote:Dans les vides sanitaires il faut impérativement prendre les disposition nécessaires a ce que les tuyaux ne gèlent pas.
D’ailleurs il existe une législation qui réglemente ces passages, mais parfois on a pas le choix.Dans les constructions neuves, on utilise un fourreau de Ø40 ou Ø50 pour chaque ligne d’eau sanitaire ces fourreaux sont
noyés dans l’épaisseur de la dalle, ensuite les tubes sont glissés dans ces fourreaux, ceci seulement en zone chauffé.
Schéma bi-passe pour chauffe-eau électrique en alternance avec chaudièreIl y a énormément de personnes que demandent comment brancher un ballon electrique sur une installation de chaudière; permettant de basculer la production d’eau chaude de la chaudière sur un chauffe-eau electrique.
Personnellement, je ne suis pas très adepte de cette technique vu que de l’eau sanitaire, va rester stagné dans la chaudière pendant toute la durée d’arrêt du chauffage. Bien que cette eau soit dans un circuit fermé le risque de contamination du circuit existe, malgré qu’il soit très faible.

Si vous utilisez des tuyaux en matières plastiques, je vous conseille d’utiliser des raccords vissés sans joint, il est possible de visser le raccords avec filasse avant de le sertir, c’est la même principe que les raccords soudés, on soude d’abord on laisse refroidir puis on sertis a la fin.
Sinon il est possible d’utiliser des vannes femelle-mâle, femelle coté pression avec raccord avec filasse, puis raccord avec écrou tournant de l’autre coté, mais cela vous fera certainement beaucoup de joints, mais cela présente l’avantage d’être démontable et de pouvoir couper la vanne en cas de fuite sur le joint.
Puis dans ce schéma complétement manuel il suffit de fermer le bi-passe chaudière et ouvrir celui du chauffe-eau pour basculer de la production au gaz vers la production electrique.
Un point important, consiste a vider complétement la chaudière ou le ballon avant sa remise en route au début du cycle, c’est important.
Alleauplombier wrote:Voici le schéma qu’il faut réaliser pour laisser les deux appareils raccordés sans que l’eau reste stagnante dans celui qui n’est pas en service.
Position Hiver
L’eau arrive par le ballon qui doit rester débranché électriquement, l’eau chaude est produite par la chaudière
Fermer les vannes 1, 3 et 5 et laissez ouvert les vannes 2, 4 et 6.Position été
L’eau passe par la chaudière qui doit rester éteinte puis rentre dans le ballon pour être réchauffé et maintenue a température.
Fermez les vannes 2, 4 et 6 et laissez ouvert les vannes 1, 3 et 5Quand je parle de tuyau de gauche je fais référence a la sortie d’eau chaude de chaudière.
Quand je parle de tuyau de droite je fais référence a l’entrée d’eau froide sur la chaudière.Que ce soit gauche ou droite c’est toujours face a l’image., Sur certaines installations ces tuyaux peuvent être disposés différemment, il est donc conseillé de poster des images pour ne pas faire des erreurs.
Schéma d’installation de ballon vessie et pompe émergé pour forages et puits
Cette installation comprend un kit manométrique monté sur ballon vessie assurant l’automatisation de la pompe (une sécurité manque d’eau peut être rajoutée sur ce kit), le tuyau de refoulement est enterré sous la limite hors gel (soit a plus de 80 cm de la surface) afin de ne pas geler en hiver.

Le gonflage de la vessie
Généralement on gonfle la vessie moins 0,2bars que la pression minimale du pressostat, mais certains disent que les performances son meilleures si la pression de la vessie est identique a celle de déclenchement du pressostat.
Contrairement, à la membrane, la vessie va éviter TOUT contact du liqumariotte8ide avec l’air ET la structure mécanique du ballon (Enveloppe). Ce type est le seul à pouvoir assurer la qualité alimentaire, au niveau ACS (Attestation de Conformité Sanitaire) Naturellement l’eau sera « emprisonnée » dans la vessie et l’air sera tout autour et en contact avec le réservoir métallique.
De nos jours on utilise de plus en plus de ballons sans vessie qui ne requièrent presque pas de maintenance et fournissent une quantité d’eau plus importante « ballons de capacité identique » entre chaque démarrage de la pompe.
Ballon de surpresseur sans membrane
Utilisation Ne pas utiliser sur les installations d’eau potable.
L’utilisation la plus courante de cette eau requiert de la pression afin de permettre une utilisation optimisé, c’est le cas des cabinets de toilettes qui requièrent de la pression pour se remplir, l’arrosage au tuyau, ou encore l’arrosage automatique.
Dans le cas des gestionnaires d’eau la pompe est deja intégré au gestionnaire, en conséquence il est possible de l’ajouter le ballon de grande capacité qui diminue le nombre de démarrages de la pompe.
Dans le cas d’utilisations d’une simple pompe de relevage ou d’une pompe émergé, il est indispensable d’automatiser le système, pour ce faire on utilise généralement un ballon avec membrane, mais ce ballon doit être entretenu périodiquement.
Le schéma que je propose ci dessous remplace ce ballon a membrane par un ballon sans membrane qui fonctionne parfaitement et ne requiert aucun entretien, il suffit de l’approvisionner constamment en air.
Fonctionnement
Dans ce cas précis, ce ballon est installé avec une pompe émergé dans un puits, donc il est très simple d’injecter l’air nécessaire au ballon comme on peut le constater dans le petit schéma a droite de l’image « les trous de Ø3mm ».
Pour ces qui sont sceptiques sur l’utilisation de ce système, je confirme qu’il fonctionne bien, il est juste nécessaire de couper l’alimentation electrique de la pompe afin de vider le ballon complétement, pour permettre l’équilibre entre la quantité d’air et d’eau contenu dans le ballon, cette étape doit être faite trimestriellement. Autrement il faut utiliser un ballon avec vessie.
Inconvénients du systèmeCe système ajoute de l’air dans l’eau, il est possible que l’aire mélangé a l’eau sorte par les robinets, ce qui cause un inconfort a l’utilisateur, pour contrer cet inconfort il est possible de séparer l’air de l’eau avant de l’envoyer vers l’utilisation, en suivant le schéma suivant.

Dans cette image ci-dessus il est indiqué que le tuyau doit être un position horizontale, mais d’autres type de configurations sont possibles, il est même possible d’utiliser un séparateur d’air du commerce.

Voici un schéma de se qui se fait en général dans les chantiers individuels.
Cliquez sur l’image pour vous rendre dans la discussion. Cliquez dans ce lien pour voir directement les corrections apportés.

Schéma de distribution d’eau ou de chauffage pour très grande installation ou pour immeuble collectif.

Nota bene: Sur le schéma il est marqué que les colonnes montantes doivent être du même diamètre que les sorties de chaudière, mais pour les chaudières murales mieux vaut augmenter cette section pour respecter les diamètres du chauffage, car certaines chaudières on une petite section a leur sortie. Les diamètres courants du chauffage se trouvent ici.
Merci Madake pour ce partage
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