Emile
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Emile
ParticipantBonjour,
D’après vos informations, 25 mm pour une tête universelle.
Cela dépend bien sûr du robinet en question.
Postez ici si vous le pouvez une photo de la pièce en question, pour être sûr que nous parlons bien de la même chose.
22/02/2015 à 16h31 en réponse à : [Résolu] Chaudière qui monte seule en pression, besoin d’aide #30493Emile
ParticipantBonjour,
Si pression stable à +1 bars alors le circuit est à priori étanche.
bruit d’écoulement = air dans le circuit de chauffage – Normal si vous avez fréquemment retiré et remis de l’eau dans le circuit. Il faudrait purger votre circuit de l’air, via vos radiateurs. Ca peut avoir d’autres causes, selon le bruit : montée en température trop rapide, ou éléments solides brassés par l’eau de chauffage…
Augmentation de la pression à la chauffe et diminution au refroidissement dans ce cas = probablement le vase d’expansion dégonflé ou hors d’usage, oui, d’après vos essais.
Emile
ParticipantLe bypass jouele rôle d’une soupape différentielle qui sert à éviter le cas de figure où l’eau chauffée et brassée par le circulateur ne pourrait circuler dans aucun radiateur car ils seraient tous fermés, le corps de chauffe de la chaudière serait alors soumis à trop de chaleur par rapport au débit d’eau. Donc le bypass est réglé pour toujours assurer un débit d’eau dans le corps de chauffe même quand l’eau ne circule pas ou très peu dans l’installation. C’est un élément qui préserve la chaudière et l’installation.
Emile
ParticipantBonjour,
oui, enfin ce n’est ni obligatoire ni indispensable, juste pratique de pouvoir isoler la portion de canalisation du ballon pour le changer ou intervenir dessus, par exemple. A 5 € la vanne, c’est un bon investissement.
Je dis ça par réflexe pour les appareils sanitaires et de chauffage en général.Cela dépend aussi si le ballon est placé plus haut ou plus bas que le reste du réseau.
Le groupe de sécurité du ballon permet déjà d’isoler le ballon et l’eau chaude ne refoule pratiquement pas si l’on laisse les robinets fermés. On peut donc se passer de vannes dans la majorité des cas, cela rallonge juste l’intervention surtout en cas de remplacement du ballon et oblige à couper l’eau de la maison ; mais votre schéma intègre déjà une vanne permettant d’isoler le ballon et la partie du réseau en aval de ‘1’.
En matos, prenez des éléments certifiés non seulement CE mais aussi NF. privilégiez la marque, un poil plus cher mais qui fait des équipements aux résultats conformes à ce qu’on en attend.
Emile
ParticipantBonjour,
il faut découvrir si c’est le réseau qui n’est pas conçu pour tant de pression, celle d’un appareil moderne et neuf, si elle est juste obstruée ou si le tuyau n’est pas positionné correctement et provoque un refoulement.
Etanche souple et résistant, il y a le caoutchouc (chambre à air de vélo). Le moins risqué est un manchon caoutchouc type raccord cyrius petit diamètre n°10 dans lequel vous pourrez passer votre tuyau de MAL, mais s’il est étanche la pression finira néanmoins par le faire sauter (car il ne doit pas être collé).
Ou sac poubelle maintenu par gros élastique.
Il vaut mieux éviter les obstructions définitives, colles et scellement compliqueront la tâche à terme.Tenter d’injecter de la pression en utilisant le tuyau d’arrivée d’eau de la machine à laver peut apporter un résultat.
Si des chiffons ne font pas l’affaire c’est que l’eau à moins de mal à remonter qu’à descendre la canalisation, il faudrait donc régler le problème d’évacuation. Soit le réseau n’est pas installé correctement et la pression du nouvel appareil le révèle, soit elle est obstruée avec le temps. Peut-être que le filtre de la machine laisse passer des peluches textiles, graviers, barrettes à cheveux…Si l’obstruction est organique, vous pouvez tenter
-eau bouillante + sel de table gros cristaux (chlorure de sodium solide),
-cristaux/paillettes de soude en quantité raisonnable, pas forcément 1kgs d’un coup)+eau chaude,
-vinaigre + bicarbonate de soude (réaction dégageant de la mousse, attention).Le vinaigre seul attaque les dépôts calcaire et les boues organiques (donc assainit) mais n’interagit pas beaucoup avec la graisse, par exemple.
Si la canalisation est obstruée par un corps synthétique, Vous avez aussi l’option du débouchage mécanique à l’aide d’un furet. Tournez le toujours dans le même sens comme elle ferait une mèche de perceuse, pour éviter de le coincer.
La hauteur de la vidange doit être comprise entre 65 et 90 cm de haut pour éviter que la pompe ne souffre (si plus haut) et que l’évacuation se fasse mal si trop haut ou plus bas).
Si d’autres évacuation sont raccordées à celle-ci pas loin, vous pouvez tester le bon écoulement de l’eau dedans. Autrement, tentez aussi de jouer avec l’enfoncement du tuyau souple de machine dans le tuyau rigide d’évacuation (pvc gris).
14/02/2015 à 15h37 en réponse à : installation d’un poêle bouilleur sur réseau fioul existant #38668Emile
ParticipantBonjour et bienvenue,
non pas de conseils particuliers, à part l’obtention et le respect des certificats flamme vert et/ou qualibois

dans l’attente des nouvelles et des schémas,
Cordialement
13/02/2015 à 23h35 en réponse à : Connaissez-vous la société AB PAC dans la région de Lorient ? #38662Emile
ParticipantBonsoir Losadi, se renseigner est une très bonne démarche qui ne doit pas susciter de méfiance ou de réserve. Des exemples de précédents chantiers et l’avis d’autres clients peut contribuer à éclairer le choix d’une société.
Le bouche à oreille est également une source d’information intéressante.Il faut aussi comprendre que toutes les sociétés ne sont pas compétentes sur tout type de travaux, le contraire est rare.
La société doit donc être en mesure d’être à l’aise avec les défis que représentent vos projets.N’hésitez pas à leur poser tout type de question, un professionnel saura comprendre la chose autrement que comme un challenge commercial visant à gagner votre confiance.
N’hésitez pas à revenir ici pour d’autres questions complémentaires ; en vous souhaitant succès et sérénité dans vos travaux.
Emile
ParticipantRebonsoir tous,
Houla, oui… Ne pas toucher, il est pris par la rouille et cassera. On peut déjà se mettre en quête de la pièce de rechange pour la tête de radiateur, mieux vaut ne pas la regarder avec trop d’insistance.
Honnêtement, je ne pense pas que le gain espéré face aux risques pris fasse pencher la balance en faveur de l’opération de rinçage du circuit au tuyau de jardin car, comme le dit El-Homari, il faut une pression suffisante mais pas trop forte et donc être capable de la maîtriser.
Oui, pour te répondre, c’est la bonne démarche ; s’il n’y a pas de raccordement dédié à la maintenance déjà présents, il faut entrer par les A/D chaudière, sans l’inclure dans le désembouage. Sur fioul, ça commence à être du bon diamètre, donc prévoir des adaptateurs réducteurs pour raccorder ton tuyau et de la filasse pour revisser tes conduites à la chaudière.
Je botte un peu en touche, mais voici un lien (encore un…) présentant la méthodologie générale d’un désembouage, intéressant pour comprendre la logique et savoir ce qu’il ne faut surtout pas faire. http://renove-chaudiere.net/?p=16
J’ai oublié de préciser qu’il faut ouvrir les tés de retour radiateur entièrement pour que ça circule bien, ce qui veut dire qu’il faut soigneusement noter le nombre de tour effectués sur chacun de ces té de réglage retour afin de pouvoir les régler comme à l’origine par la suite, sans avoir à refaire l’équilibrage du réseau. Ca n’a l’air de rien mais ça peut tout changer en terme de chauffage et c’est surtout très long compte tenu de l’inertie calori..Bref.Un désembouage en solo signifie monter ouvrir les retours et fermer les radiateurs sauf un, descendre raccorder le machin, attendre, remonter fermer le radiateur en se demandant si ça ne fuit pas en bas pendant ce temps, rouvrir un radiateur, redescendre surveiller la pression, attendre, remonter…Pour chaque radiateur.
Blague à part, je me dois de mettre en garde même si tu sembles sérieux, motivé et capable, c’est à la fois simple en théorie et compliqué dans la pratique.
Le raccordement au circuit de chauffage peut déjà être sport, sans vanne d’isolement et sans expérience de la filasse. Le bon côté des choses est qu’en général des conduites de ce diamètre peuvent être manipulées sans crainte de les déformer.
C’est quoi comme chaudière ?
Allez pas nous mettre en panne la brave bête un week-end en plein hiver !
On est un certain nombre à attendre le lève radiateur Virax avec impatience… !
ps : ça ne serait pas un tuyau en plomb sur la photo…?
13/02/2015 à 22h39 en réponse à : Connaissez-vous la société AB PAC dans la région de Lorient ? #38660Emile
ParticipantBonsoir,
non je ne connais pas cette société mais en général en Bretagne, la réputation se fait vite et tout le monde est au courant

Leur fiche de société indique qu’il s’agit d’une petite PME lancée il y a trois ans (moment clef pour une entreprise), bénéficiaire mais sans résultat si incroyable que ça en devient douteux.
Ce n’est pas bête d’avoir posé la question, il faut aussi savoir qu’ il y a régulièrement de la publicité travestie sur le site et qu’on encourage pas la chose…
Voilà, cordialement
Emile
ParticipantRebonjour,
merci pour ce retour instructif,
Quote:est-ce que faire circuler de l’eau (depuis la chaufferie) dans le retour et la faire s’évacuer au départ (toujours depuis la chaufferie) pourrait faire « bouger » les boues et permettre leur partielle évacuation (en isolant tous les autres radiateurs sauf celui en fonte)?Il faut une pression importante pour espérer faire bouger les dépôts les plus anciens des coudes et autres endroits bien étroits et repliés, surtout sur 550m² et plusieurs étages depuis la chaufferie.
Quote:mais comme précisé dans ce post je n’ai même pas de chaleur arrivant aux tubesC’est très pertinent de remarquer que le tuyau avant la tête n’est pas chaud non plus, c’est un truc qu’on utilise souvent ! Pourtant, le symptôme peut aussi être très normal dans le cas d’une tête thermostatique bloquée ou une bulle d’air coincée en entrée ou sortie de radiateur, car comme l’eau est incompressible et que le circuit est fermé, si l’eau ne peut chasser la bulle et s’engouffrer, alors l’eau qui la suit ne peut pas non plus « avancer » et donc « chauffer » le tube. Si c’est le cas, c’est un mini bras mort, l’eau présente a déjà échangé sa chaleur avec le milieu il y a longtemps et a refroidi sans jamais repasser par la chaudière ni pouvoir retourner en arrière dans le tube vers la circulation <
>… Essaie de contrôler la tête thermostatique sur le radiateur de la salle de bain ; souvent source de problème car grippage avec le temps.
En dévissant la bague plastique qui maintient la poignée en position on découvre le pointeau/la tige qui contrôle le passage de l’eau et qui est souvent grippée. Une petit goutte d’huile et quelques appuis légers pour la manœuvrer d’avant en arrière et contrôler le coulissement permet parfois un résultat instantané sur un chauffage froid. (attention, éviter de sortir entièrement la tige, généralement longue de 3 / 5 centimètres, c’est inutile et ça casse tout…On veut simplement qu’elle soit sensible à la poussée de la tête de réglage que l’on positionne dessus ).
Il y a aussi parfois une bulle d’air qui remonte et reste coincée dans le coude à 90 ° de la tête, empêchant l’eau de passer.
Ca arrive aussi sur les tuyaux de pompes de relevages mal positionnés…Faire circuler de l’eau à moins de 6 bars ne fera pas des miracles et nettoiera l’eau qui entraine elle-même des boues, oui…
Avant de penser se brancher à l’envers sur un circuit de chauffage il faut absolument isoler la chaudière du reste du circuit, car il y a dedans un circulateur…Certes les moteurs électriques peuvent tourner dans les deux sens mais les pales de turbine et le rotor n’aimeront pas du tout…Je pense qu’à ce stade c’est un peu risqué ; j’entends par là que certaines personnes qui ont tenté de désembouer leur réseau au jet d’eau ont simplement réussi à boucher complètement leur circuit en un point un peu plus étroit et encore plus inaccessible… On prend moins de risque en suivant la méthode rinçage de l’eau de l’ensemble, isolation de chaque appareil dans un premier temps, puis tout ensemble.
Si le circuit date de plusieurs époque avec rénovation et extension, <
> la portion radiateur de salle de bain soit en dérivation, en parallèle et non en série…Alors la tête de robinet bloquée transforme cette portion du réseau en bras mort que l’eau contourne puisqu’elle a moins de mal à passer ailleurs.
Simple hypothèse puisque c’est évidemment difficile à décréter comme ça avec certitude, depuis mon transat, au paradis des chauffagistes, sans connaitre l’installation.Pour le radiateur en fonte qui ne chauffe pas, si le démonter n’oblige pas à tout vidanger, que les raccords ne fuient pas, un bon nettoyage lui fera sans doute du bien et il semble un bon sujet de tests pour les techniques de débouchage/nettoyage.
Vu la forme des ailettes c’est souvent sport de le nettoyer intégralement sans support technique qui en impose, type machine dédiée.Merci des commentaires positifs et sympathiques, il est rassurant de ne pas être le seul à rêver de machine rouge qui fait des miracles

Tenez-nous au courant !
Emile
ParticipantRebonsoir Ramon,
oui le schéma est bien point de vue vidange de l’installation, si elle est dans le même regard que le compteur.
Qu’y-aura-t-il par dessus la brique de 65 en finition, revêtement embellissement ?
Est-ce que le mitigeur est encastré ou apparent ?J’aurais tendance à dire saignée pour plusieurs raisons et par expérience, mais je vous laisse répondre aussi.
Sinon effectivement, on peut très bien se débrouiller sans platine, avec deux raccords coudés en laiton et du plâtre ou du MAP, dès lors qu’on ne prend pas de risque avec une éventuelle future fuite ou besoin d’intervention.
Et en platine il faut bien regarder le mode de raccordement, le corps plastique ou métal et la visserie.
12/02/2015 à 18h18 en réponse à : Fuite d’eau chaudière feroli au niveau de la sortie eau chaude #38601Emile
ParticipantBonjour,
bienvenue, vous avez bien fait de tenter votre chance

Quelle est le modèle de votre chaudière de marque Ferroli ?
voilà comment je vois ça :
la fuite est ancienne et c’est le calcaire sous forme solide qui assurait plus ou moins l’étanchéité.
Si vous êtes sûr que c’est la sortie eau chaude de votre chaudière vers les robinets,
pas besoin de couper l’eau au général,
couper la chaudière,
décomprimer le circuit pour faire chûter la pression,
fermez le robinet d’alimentation eau chaude s’il y en a un sur la chaudière,
n’ouvrez pas de robinet sur eau chaude pour ne pas faire appel d’air,
si les robinets sont bien fermés et bien étanches ça ne devrait pas trop couler, prévoyez quand même de placer un bon seau en dessous du raccord et démontez progressivement….dégager le raccord pris dans le calcaire à l’air d’une brosse métallique, empreinte plate de tournevis, sans endommager le laiton ni le cuivre,
Démontez le raccord, Attention l’eau peut être brûlante.
Extraire l’ancien joint et nettoyez le raccord de façon à avoir des surface planes et propres, notamment la portée de joint (collet battu du tuyau de cuivre)
Changer le joint par un joint rouge fibre, si possible CSC, resserrez et voyez ce que ça donne.
Attention l’eau peut être brûlante si la chaudière a débité de l’eau chaude juste avant. Mieux vaut attendre un peu.
1.5 bars c’est pour faire monter l’eau à 15 mètres de haut et assurer une bonne circulation de l’eau de chauffage. Si la pression redescend c’est souvent signe que le vase d’expansion ne joue plus sons rôle. A voir si votre pression varie beaucoup selon que le chauffage est en route et les circuits chauds ou froids.
Est-ce que la pression chaudière descend spontanément à 0 si on ne remet pas d’eau dedans ou est-ce qu’elle se stabilise avant ?
(A ne pas tester, encore moins sans mettre la chaudière hors service, c’est juste une question.)Il faudrait remettre de l’eau dans la chaudière à froid, idéalement, car l’écart de température peut fissurer certaines pièces.
Un lien pour les principe de la mise en eau d’une installation.Le vase d’expansion peut être en cause. Vérifiez quand même que vous n’avez pas d’autres fuites sur les raccords et soupapes de votre chaudière.
Cordialement
Emile
Participant– Quel type de régulateur de pression choisir ? En faut’il 1 pour le puit ?
-Régulateur au sens de réducteur de pression, non. Au sens de surpresseur, oui car le rôle d’une pompe de relevage n’est pas d’augmenter la pression de service à 3 bars.– Quel type de filtration pour l’eau du puit ?
Pot/filtre à particules, et idéalement adoucisseur d’eau pour protéger l’installation de l’eau calcaire (ce n’est pas de l’eau de pluie). Ou alors rien si la pompe a déjà un tamis.– Cette filtration ne serait-t-elle pas mieux après le réducteur de pression ?
Elle ne sera pas plus efficace. L’intérêt de la déplacer est au niveau de la difficulté technique ? (creuser enterrer regard d’accès )– Que faut’il prévoir pour le raccordement des ballons ?
Obligatoirement : un groupe de sécurité. Une section en cuivre de 10 cm (je crois) avant raccordement du ballon. Un raccord diélectrique comme présent sur votre schéma.Recommandé : Des vannes de coupures de proximité pour intervention sur le ballon sans couper toute la maison. Le moins de flexible possible. Carrément deux raccords diélectriques, un sur l’arrivée d’eau froide et un sur la sortie eau chaude.
On ne raccorde plus direct en P.E.R., c’est interdit. (la température de l’eau fait sauter les bagues ou exploser le tuyau et provoque de grosse fuite. Le P.E.R. n’aime pas la chaleur.) Si pas de cuivre, obligation de poser un mitigeur thermostatique entre le ballon et le réseau aval d’eau chaude pour réguler la température d’eau chaude dès la sortie du ballon, idéalement réglé au moins à 60 °C pour raison sanitaire.– Les vannes avec purges dans les regards 1 et 2 suffisent elles pour vidanger tout les circuits ? Ou en faut-il une par circuit ? (le fonctionnement de ces vannes m’est inconnu).
En gros, ça laisse l’eau s’écouler à l’endroit de la vanne. Selon la pente du terrain, la hauteur de l’installation, ça vidangera les conduites hautes (mais pas les siphons des appareils) et plus ou moins entièrement la canalisation principale.
La vanne de vidange doit être installée au plus près du compteur principale, donc dans le même regard. Pour vidanger en prévision du gel ou pour intervention, ça devrait suffir. Si vous voulez pouvoir vidanger rapidement toute votre installation, il vaut mieux placer un point de vidange plus gros, c’est-à-dire un Té de dérivation plus gros en 20/27 3/4, mais c’est une question de débit. Prenez surtout des robinets/Vannes de bonne qualité, pas le truc premier prix chez Leroy pimpin.Conseil: une petite pente sur vos arrivées principales pour vidanger et vous pouvez au choix isoler grâce aux vannes placées près des premiers appareils et donc vidanger toute votre installation ou juste l’arrivée d’eau entre habitation et compteur principal. Idéalement vous placez aussi une vanne avant vos appareils pour pouvoir intervenir dessus en cas de besoin

– Comment faire mes sorties de douches sur du matériaux pleins ?
Sorties de douche, c’est-à-dire arrivées d’eau et évacuation ?
Il faudra casser pour réaliser le bac et l’évacuation. Je ne suis pas sûr de comprendre votre problème.
On pratique des saignées et on réalise des forage circulaire avec un trépan/scie cloche.Emile
ParticipantBonjour,
Beaucoup de solutions existent. Le plus simple en rénovation, en terme de travaux, est une unité de ventilation chauffante intérieure reliée à une pompe à chaleur extérieure ou un ballon thermodynamique.
Il y a juste à faire une étude, poser et relier les unités et c’est parti.Le plus fiable et écologique c’est la géothermie (chaleur de la terre…) mais on ne peut pas le faire partout.
Avez-vous accès au gaz naturel de ville, gaz propane en citerne ? Dans quelle région est située la maison ?
Existe-t-il déjà un système de chauffage central (par exemple, un réseau de radiateur avec une chaudière), une cheminée ?J’aurais tendance à dire qu’un plancher chauffant hydraulique basse température est ce qui se fait quasiment de mieux en terme de confort, d’économie et d’écologie.
Tout simplement car la zone de confort de l’être humain varie un peu en température de la tête au pieds. Une pièce à 20 °C est un peu trop sèche, mais avec les pieds à 20°C et la tête à 18°C on se sent bien. La chaleur irradie doucement du sol en montant. Il n’est pas nécessaire de chauffer tout l’air de la pièce pour obtenir une sensation de température confortable.
C’est donc économique et moins énergivore.Après, la façon dont on l’alimente à partir d’une source d’énergie est un autre problème. Vous pouvez la relier à une chaudière basse température / condensation, à une pompe à chaleur géothermique ou aérothermique, à un ballon thermodynamique.
L’inconvénient du plancher chauffant est qu’il faut faire des travaux au sol et tenir compte de l’inertie des matériaux dans les périodes de chauffe et de refroidissement. Il ne suffit donc pas de tourner un bouton pour avoir chaud 10 minutes après. La chauffe se règle sur plusieurs heures, hebdomadairement, et en fonction de la saison etc. en prenant bien en compte tout ces paramètres.
On peut régler la température selon les pièces car c’est un réseau de boucle au sol, adapté aux besoins de chaque pièce, relié à une pieuvre sur laquelle on peut affiner le débit de chaque boucle.
Il ne suffit jamais de poser un appareil sans avoir étudié les conditions dynamiques. C’est le particulier qui éprouve ensuite les désagréments sur la facture ou le confort.
Les radiateurs électriques (convecteurs rayonnants) chauffent l’air qui ensuite vient vous chauffer. Le système est donc très énergivore, dépend du prix de l’électricité, n’est pas franchement écologique. C’est la solution à moindre coût à court terme.
Les radiateurs d’appoint au gaz sont simplement dangereux en utilisation prolongée.
Les chauffages radiants utilisent une autre technologie, celle qui consiste à chauffer uniquement les corps/objets, et non l’air. http://fr.wikipedia.org/wiki/Chauffage_radiant
Plutôt réservées aux infrastructures industrielles, restaurants…Il existe aussi des planchers chauffant électriques à poser vite fait mais c’est hors-sujets par rapport à vos attentes en termes écologique et économique.
J’ai envie de vous dire qu’aucune technologie actuelle n’est plus écologique qu’une autre, car cela dépend plus de votre localité géographique et de la qualité d’isolation de la maison que de la source d’énergie privilégiée.
Autrement dit, seule l’architecture bioclimatique a effectivement une empreinte écologiquement très faible.Un habitant de la Drôme qui se chauffe au bois sera moins polluant qu’un Parisien qui fait de même.
Un habitant de hlm en banlieue sera moins polluant en utilisant son chauffage collectif à l’incinérateur qu’en utilisant le fioul.
Est-ce que je me trompe de beaucoup en avançant que d’après votre système de chauffage vous habitez en zone rurale dans une région où on a beaucoup recourt à l’électricité (style Bretagne) ? Ou alors en ville moyenne, mais sans gaz naturel.
Au niveau des solutions de rénovation pour votre installation de chauffage, cela dépend de votre situation géographique, surface et orientation de la maison, isolation et de l’ampleur des travaux que vous souhaitez accomplir.
Le plus facile à installer, sans travaux de gros oeuvre : une pompe à chaleur air/air avec des unités intérieures de restitution.
inconvénient : l’unité extérieure est bruyante, si les calories de l’air sont insuffisantes c’est une résistance électrique qui prend le relais. Si la pompe n’est pas bien choisie, elle va griller rapidement en hiver. Sa perf dépend beaucoup des conditions extérieures.
Si vous êtes prêts à réaliser un plancher chauffant hydraulique (donc non électrique)
Vous pouvez aussi combiner plancher chauffant basse température avec :
Un ballon thermodynamique
Une chaudière à pellet
Un chauffe-eau solaire
Le plus facile d’installation, fiable et simple à l’usage est ensuite la chaudière à pellet, à condition d’avoir assez d’espace pour réaliser le silo à pellet.
Vous pouvez aussi regarder du côté des poele bois/insert avec système de restitution par ventilation dans chaque pièce.
Dites-nous quelle est votre région et je pourrais vous en dire un peu plus.
Si vous pensez rénovation énergétique, pensez aussi isolation car l’énergie la plus propre c’est celle qu’on ne consomme pas.
Pour vous répondre un peu plus précisément, j’ai besoin de connaître la surface à chauffer, votre région et le climat dans votre zone, s’il y a des emplacements dégagés autour et dans la maison (pour une éventuelle chaudière).
Dans l’attente de votre réponse,
Cordialement
10/02/2015 à 23h30 en réponse à : Urgent FUITE sous le jardin entre compteur et robinet fermeture généra #38629Emile
ParticipantBonsoir,
3.6m3 par jour c’est beaucoup oui.La fuite semble donc se trouver entre votre robinet général et le compteur,
Vérifiez d’abord que ce ne sont pas les raccords raccordant le compteur à l’alimentation en eau de la maison qui fuient. Vérifiez aussi tout ce qui peut l’être visuellement chez vous, entre la vanne de coupure générale et l’extérieur de l’habitation ; notamment la jonction de l’arrivée après le mur.
Quote:Comment je peux faire pour réparer et/ou changer cette fuite ?Vous pourriez faire procéder à une recherche de fuite pour la localiser précisément. Ce sera probablement cher, mais moins cher que de faire venir la pelleteuse. Il ne restera plus qu’à remplacer la section incriminée.
L’inspection thermographique, la caméra endoscopique ou l’inspection par ultrason ou par gaz peuvent permettre une localisation rapide de la fuite.
Il faut savoir que, dans ce cas précis, faire intervenir un professionnel est intéressant pour justifier auprès de votre concessionnaire et de votre assurance de la remise en état de votre installation et donc de pouvoir bénéficier d’une réduction de votre facture d’eau sur la période où la fuite a anormalement augmenté son montant.Autrement, ce n’est pas obligatoire.
C’est désagréable à entendre mais personnellement, à part creuser, je ne vois pas trop.
Votre facture d’eau et votre redevance d’assainissement devraient être plafonnées en raison de cette fuite.
Contactez votre assurance habitation afin de voir quelles sont les clauses couvertes en cas de sinistre et les documents que vous devez lui remettre.
Demandez à l’intervenant de bien rédiger un devis précisant qu’il s’agit d’un recherche et réparation de fuite, les dégâts constatés, etc – ce document sera réclamé par l’assurance et elle peut en contester la forme pour refuser de couvrir, selon votre contrat. Donc contactez là avant.
« Notice : l’article L. 2224-12-4 du code général des collectivités territoriales prévoit que le service d’eau informe l’abonné en cas d’augmentation anormale de sa consommation. Dans le cas où cette augmentation est due à une fuite de canalisation, le montant de la facture d’eau est plafonné, à condition que l’abonné ait fait réparer la fuite.
Le décret précise que ne sont prises en compte, à ce titre, que les fuites de canalisation d’eau potable après le compteur, à l’exclusion des fuites dues à des appareils ménagers et des équipements sanitaires ou de chauffage. Il précise l’étendue de l’obligation d’information de l’abonné qui incombe au service de distribution d’eau ainsi que la nature des justificatifs à produire par l’abonné pour bénéficier d’un plafonnement de la facture d’eau, le service pouvant procéder au contrôle de ces justificatifs.
Le décret fixe le principe selon lequel, en cas de fuite d’eau sur canalisation après compteur, le volume d’eau imputable à la fuite n’entre pas dans le calcul de la redevance d’assainissement. Il fixe les modalités selon lesquelles ce volume est estimé.
Références : le décret est pris pour l’application de l’article 2 de la loi n° 2011-525 du 17 mai 2011 de simplification et d’amélioration de la qualité du droit ; le code général des collectivités territoriales modifié par le présent décret peut être consulté, dans sa version issue de cette modification, sur le site Légifrance (http://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie,
Vu le code général des collectivités territoriales, notamment ses articles L. 2224-12-4 et R. 2224-19-2 ;
Vu l’avis de la mission interministérielle de l’eau en date du 25 janvier 2012 ;
Vu l’avis du comité des finances locales (commission consultative d’évaluation des normes) en date du 3 mai 2012 […];Emile
ParticipantBonsoir !
30 radiateurs, belle installation !
Vous semblez bien connaître votre installation.
Ce qui suit est un peu long, mais éclairera peut être votre lanterne en espérant ne pas vous faire de grandes tirades que vous connaissez déjà par cœur.
S’il était froid en haut, il pourrait s’agir d’une bulle d’air à chasser par une purge sur le retour chauffage.
Si l’eau ne passait plus du tout, ça contrarierait la chauffe des radiateurs suivants.
Un autre phénomène physico-chimique pourrait être l’accumulation de matière métallique à l’arrivée du radiateur par électrolyse, à l’endroit où différents matériaux entrent en contact. De forme diverses, paillettes ou échardes, la matière prise au métal ailleurs sur le circuit iraient jusqu’à fortement obstruer le passage de l’eau et déséquilibrer sa circulation.
Mais encore une fois, selon l’emplacement du radiateur, si les suivants ne sont pas affectés, ce n’est pas forcément ça.Les boues se déposent effectivement en bas par gravité et s’accumulent dans les passages étroits, coudes…
Le symptôme peut être lié aux boues, effectivement. Il peut aussi être le signe d’un problème d’équilibrage du réseau. Dans tous les cas l’eau n’échange pas assez de chaleur avec le corps du radiateur, soit parce qu’elle circule difficilement, ou bien trop vite, ou trop lentement. L’équilibrage dépend entre autre du positionnement en série du radiateur sur le réseau et de la vitesse du circulateur. Si le reste du réseau n’est pas concerné, vous pourriez envisager de remplacer le té de réglage du radiateur puis d’affiner les réglages d’équilibrage du flux sur les autres radiateurs en amont et en aval de celui qui pose problème, afin de limiter le phénomène.
Cela dépend encore d’où est situé le radiateur sur le circuit.
Il serait par ailleurs utile de pouvoir le démonter pour un entretien.
La seule façon de savoir avec exactitude le volume contenu dans un circuit est de le vider entièrement, relever la valeur du compteur d’eau, re remplir le circuit et relever à nouveau la valeur.
Difficile de répondre précisément sans connaître d’autres éléments (longueur circuit, diamètre tuyau, volume radiateur…).Vous pouvez utiliser la formule suivante pour calculer à la louche le volume contenu dans votre réseau de chauffage.
Un circuit domestique contient généralement entre 150 et 300 litres.Une estimation approximative est de compter 10 litres par Kw de puissance de la chaudière, soit environ 240 litres pour une chaudière de 24 Kw, 350 pour une de 35 Kw…
[Copié Collé internet]• Le volume des circuits domestiques peut être aussi évalué en comptant le nombre de radiateurs panneaux d’une habitation et en multipliant par dix.
• N’oubliez pas de compter les radiateurs panneaux doubles comme deux radiateurs.
• Il est également important de tenir compte des réservoirs de stockage car ils peuvent ajouter jusqu’à 100 litres à la capacité du système.J’en pense que TAN+Cuivre+Fonte+Alu, ça fait une bonne source de corrosion interne à l’origine de particules minérales.
Donc attention à respecter impérativement la quantité et au temps d’exposition du circuit au désemboueur ! Des catastrophes se sont déjà produites.Le produit désembouant a en fait une action dispersante et maintient en suspension les boues. Il est corrosif, produit de la mousse et de la chaleur.
Pour un désembouage efficace de l’ensemble du réseau et chaque radiateur, il vaut mieux une machine spécifique, machine type détartreuse (bref, un compresseur qui pousse l’eau), dotée d’un récipient qui récolte les boues.
Ca peut se louer ou se prêter, même s’il vaut mieux alors vérifier que le moteur tourne correctement.
L’avantage est que l’on peut injecter sous pression une bonne quantité d’eau et surtout, inverser le flux (faire tourner l’eau du retour vers le départ), pour induire des contre pression et décrasser intégralement le radiateur.Je vous recommande de lire ceci à propos du désembouage :
Si le propos consiste manifestement à vendre du désembouage, il contient aussi des informations utiles.
http://www.drageau.fr/desembouage.phpLe dosage n’est pas à négliger, de même que l’ajout d’un neutralisant puis d’un inhibiteur de corrosion après utilisation de produit chimique dans le réseau de chauffage. Je dis ça parce que ces produits seront toujours moins cher qu’un réseau dont la dégradation se trouve accélérée par l’utilisation inappropriée de produit (encore pardon mais je suis resté traumatisé par l’expérience désastreuse d’un collègue…).
On peut aussi envisager la pose de filtre anti boues avant la chaudière, si ce n’est déjà fait. Leur action est limitée mais elle reste efficace et cela permet aussi d’évaluer la composition de l’eau de chauffage.
Dans votre cas, vous pourriez peut être simplement désembouer le radiateur incriminé, sans toucher au reste du réseau, avec l’avantage de ne pas induire de modification majeure sur ce dernier.
On commence généralement par isoler la chaudière et rincer sans produit et à l’eau claire les boucles du réseau de chauffage en fermant tous les émetteurs de chaleur à l’exception d’un seul, qui sera nettoyé, avant de passer au second etc. , en rejetant l’eau du circuit à l’extérieur de celui-ci. On fait de même avec la chaudière. On injecte ensuite dans la machine le désembouant que l’on fait circuler de la même manière, mais en circuit fermé sans relarguer le produit durant quelques temps avant de vidanger et reremplir l’installation à l’eau claire + éventuel produit.
Un vrai désembouage se termine normalement par des tests sur la qualité de l’eau et la proportion correcte d’inhibiteur dans le circuit.Les produits X de chez Sentinel (je ne suis pas actionnaire…) sont parmi les plus utilisés. Le dosage et la méthode sont décrits au dos des bidons et sont également disponibles sur le site du fabricant. On est généralement sur du 1% du volume d’eau.
http://www.sentinelprotects.com/fr/produits/chauffage-central/sentinel-x400-desembouant
Voici un exemple d’avis technique sur un produit :
http://www.cstb.fr/pdf/atec/GS19-T/AT100105_V1.pdfLe top, je trouve, est un désembouage hydrodynamique (pulsation alternant eau et air) professionnel avec machine Rottenberger (Ropuls) sans produit chimique. Ca n’empêche pas d’ajouter un adoucisseur ou inhibiteur de corrosion dans son circuit après remplissage.
L’ajout d’une vanne isolante ou le remplacement du té de réglage et de la tête de radiateur, si elles peuvent être trouvées dans le commerce, serait une idée judicieuse pour les éventuelles interventions futures.
Il convient d’être prudent avec les interventions sur les installations anciennes ou importantes.
A chaque fois que l’on remplit une installation, on réinjecte de l’oxygène, des minéraux et des oligo-éléments qui induisent des réactions chimiques de nature à enclencher la formation de boues bactériennes ou particules métalliques dans le circuit fermé.
L’intérêt d’un inhibiteur n’est donc pas nul.http://www.quali-artisan.com/2011/11/desembouage-chauffage-precautions.html
Heu…N’hésitez pas à poser des questions, d’autres réponses que les miennes vous seront sûrement aussi utiles.
Cordialement !Emile
ParticipantBonsoir,
le D.T.U. est complexe et je ne le connais pas par cœur, il distingue notamment les chapitres consacrés aux évacuations et ceux à l’adduction d’eau de ceux dédiés au passage des canalisations…
Passer des conduites d’évacuations en 80 ou en 100 dans les doublages, avant cloison (style placo) se fait couramment.
Il faut assurer sur le collage et l’emboitement des PVC (je vous conseille de gratter les emboitures au papier de verre pour créer des reliefs où la colle agrippera avant collage, parce que ça tient plus longtemps et que c’est ce que peux vérifier l’assurance en cas de dégâts puisque ça fait partie des règles de l’art.).Les conduites d’eau c’est autre chose. On peut aussi les faire passer dans les cloisons et ça se fait aussi couramment. Il ne faut aucun raccord démontable ou soudure non accessible.
Personnellement -en tant que plombier, je préfère l’apparent
– mais ce n’est pas dans l’esthétique actuelle et ça se fait très bien aussi. Juste assurer l’accessibilité et bien travailler pour ne pas avoir à y revenir.Oui, il faut se méfier des dilatations (donc ça joue sur la longueur et le mou des conduites, mais aussi sur le nombre et l’emplacement des points de fixation) et des ponts thermiques (une différence de température entre une partie et l’autre du circuit créera de la condensation, eau liquide qui humidifiera votre cloison dans un emplacement peu aéré). Le mieux c’est de gainer les deux conduites et de s’assurer qu’elles ne rentrent pas en contact direct avec l’isolant, le mur ou toute autre partie susceptible d’être plus froide ou plus chaude.
A la question de savoir si elles passent devant ou derrière l’isolant, j’aurais tendance à répondre devant, pour éviter qu’elles ne gèlent, que la condensation s’accumule dans l’isolant s’il n’est pas respirant et les rendre vaguement plus accessible.Pour le tableau électrique, c’est plutôt la norme électrique NF 15-100 que j’irai consulter.
Elle précise apparemment qu’une Gaine Technique de Logement (GTL) doit être implantée dans le cas d’une rénovation impliquant un remaniement des cloisons.La GTL est un espace de 60 cm de large, 20 cm de profondeur, haut du sol au plafond, dans lequel rien d’autre ne doit passer hormis des câbles et l’appareillage électrique.
La NF 15-100 n’est pas forcément plus précise que le D.T.U. « plomberie » sur le sujet, mais il est clair qu’il sous-entend qu’il est indispensable de s’assurer qu’en aucun cas de l’eau sous forme de projection ou de condensation ne viendra s’infiltrer sur l’installation électrique.Autrement dit, on peut peut-être techniquement passer une conduite à l’arrière distante de 21 cm du tableau dès lors que l’on s’assure qu’elle sera séparée par un isolant étanche à l’eau, un coffrage étanche.
Cela dit, si vous aviez moyen, je crois qu’il est préférable de déplacer le tableau ou dévier un peu la canalisation.Je suis sûr de mon coup, sauf pour le tableau. Ce que je vous décris à ce sujet n’a rien de définitif, n’est pas formel et n’est pas à prendre à la lettre. Je me renseigne sur le sujet auprès de personnes plus compétentes.
Emile
ParticipantLouise wrote:Bonjour,
je suis à la recherche d’un mélangeur monotrou bain douche, c’est à dire non mural pour une baignoire en fonte où je dois changer le robinet qui est sur la baignoire. Il y a très peu de modèles et pas très joli, avez vous des « tuyaux » pour en trouver de style rétro ? Merci de vos adresses pas chères ou sites ?Pour du spécifique il faut rechercher la robinetterie haut de gamme, style italienne rétro- .
Une recherche google ‘robinetterie retro’ en sélectionnant les résultats images donne un aperçu.
https://www.google.fr/search?q=robinetterie+italienne&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ei=E-vZVM29Bcb1UqvtgIgJ&ved=0CAgQ_AUoAQ&biw=1152&bih=718#tbm=isch&q=robinetterie+retrovous avez aussi vos chances dans les braderies, antiquaires, dépôts/vente.
Il faut peut-être plutôt rechercher du côté des arts décoratifs que des plombiers artisans.
En France, Nicolas Beboutoff est un artisan de plomberie d’art passionné par la robinetterie.
Je ne sais pas s’il sévit encore. Ca se fait un peu plus en Europe, (Allemagne, Belgique).https://www.youtube.com/watch?v=UggGv-RoY-Q
Il existe aussi des artisans spécialisés dans la réfection de la robinetterie des monuments historiques.
https://www.youtube.com/watch?v=-RH1MSVIoVgAdresses par chère, c’est pas gagné. J’irai voir du côté des braderies pour chiner

Chercher peut porter ses fruits ; j’avais dégoté un robinet à l’italienne pour 50 € en déstockage fin de série invendu dans une grande surface de bricolage, qui n’était pas à proprement parler un temple de l’artisanat. :f
Emile
ParticipantMerci d’avoir pris le temps de répondre !
Je ne connais pas suffisamment non plus.Apparemment, ces systèmes existent mais en application industrielle et pour la balnéo/piscine.
Ca se fait aussi en encastré pour les WC et très peu pour réservoir apparent.
Un kit d’adaptation existe pour réservoir haut en apparent chez deux fabricants.
Le modèle de réservoir api 123 chez geberit (kit uniquement adaptable sur chasse haute ! 123.700.11.1 et
123.711.11.1)
http://www.geberit.ch/media/local_media/produkte/alle/montagehandbuch/montagehandbuch_sas/fr_6/5_Chasses_d_eau_apparentes.pdfChez Regiplast, ce n’est pas clair, je n’ai pas confirmé, mais le modèle ‘Europa’ ref. 301 et le kit 300 P pour réservoir europa réf. 300 on l’air de correspondre à ce type d’installation avec commande pneumatique déportée.
http://www.regiplast.fr/article/301Le reste est du haut de gamme et encastré.
Je me demande si on peut enlever le câble/capillaire pneumatique d’un mécanisme de chasse lambda pour le prolonger par un plus long avec bouton pneumatique.
Peut-être que ça pourra intéresser d’autres personnes. Ca peut être ergonomique à moindre coût pour le cas où utiliser une chaînette devient difficile.
10/02/2015 à 11h05 en réponse à : URGENT : Fuite sur tuyau cuivre dans une dalle : comment réparer ? #37409Emile
ParticipantBonjour !
C’est du travail, mais ça prend tournure.
Je voulais vous préciser que la réglementation oblige, au moins depuis 2012, à mettre sous fourreaux/gaine les canalisations noyées dans une chape ou traversant les cloisons, pour éviter les frottements mécaniques et faciliter leur remplacement.
Et vous recommander d’être intransigeant sur ce point dans la mise en œuvre de vos réparations.Il y a eu des problèmes de qualité avec le cuivre jusqu’aux années 1980, mais c’est surtout la mise en œuvre/façonnage qui créer des problèmes précoces. Le cuivre aux normes françaises est normalement garantit 30 ans.
J’ai constaté la même chose que d’autres ici dans la relation entre durabilité de l’installation et mise en œuvre vraiment soignée.Au vu de vos informations, ouvrir sur cette profondeur ne devrait pas modifier l’intégrité structurelle de votre sol, la statique du bâtiment.
Testez l’étanchéité avant de refermer.Parfois, une différence de température suffit à engendrer des frottements. C’est arrivé chez des proches sur une installation ancienne elle aussi noyée par endroit.
Emile
ParticipantBonjour, j’imagine que ça permet d’éventuellement intercaler des attentes déportées/rosaces pour parfaitement régler la distance entre les arrivées d’eau froide et chaude sur le mitigeur.
J’ai déjà vu des attentes encastrées raccordées avec des joints qui fuyaient derrière la cloison…!
En principe, il est préférable de laisser vos attentes émerger au raz de la cloison et d’utiliser des coudes de sorties de cloison per
Le sertissage est autorisé en encastré.
Filasse, filasse, filasse, rien ne vaut la filasse…
Emile
ParticipantBonjour et bienvenue,
j’espère que ces échanges pourront faciliter ce projet, intéressant !
La vocation du forum est quand à lui assez axé sur l’open source

A bientôt, content de vous compter parmi nous.
Emile
ParticipantBonjour Blizzart,
Quote:c’est que lorsque nous fermons le robinet d’arrivée d’eau, il n’y a plus rien qui coule.C’est très normal puisque le robinet d’arrivée d’eau wc fonctionne et qu’il est situé quelques centimètres en amont de votre fuite. En le fermant, la pression devient très faible et le peu d’eau située entre les deux robinets s’écoule vaguement. Quand il est ouvert, le robinet flotteur intérieur au réservoir doit par contre stopper de l’eau à environ 3 bars.
le robinet placé à côté du réservoir n’a donc pas l’air de fuir et fait son travail puisqu’il coupe l’eau en amont du robinet flotteur. Le robinet flotteur (associé donc à un flotteur)



est sensé interrompre l’arrivée d’eau quand elle arrive à une certaine hauteur. Il semble qu’il continue de débiter alors que le réservoir est rempli. Le trop plein d’eau s’écoule donc dans la cuvette.
A vérifier, réservoir ouvert, avant d’en racheter un :
-contrôler le libre mouvement du flotteur, qui ne doit pas être bloqué (il peut être mal positionné et entravé par frottement le long de son axe, ou de la cuvette…) et dois bien remonter entièrement pour fermer complètement l’arrivée d’eau.
-constater que même en terminant son mouvement ascendant, le flotteur ne stoppe pas l’arrivée d’eau dans le réservoir.
-robinet ‘d’arrivée d’eau’ coupé,
démonter le flotteur
et vérifier le joint/la membrane si elle est démontable. Si le joint/la membrane est usée ou perçée, vous pouvez simplement en changer par un(e) identique et économiser ainsi un flotteur neuf. Graisser un joint/une membrane augmente sa longévité et parfait l’étanchéité.-Laisser tremper le robinet flotteur dans du vinaigre et le nettoyer avec une vieille brosse à dents.
Remonter le robinet flotteur, remettre l’eau, vérifier que son flotteur remonte correctement, et contrôler s’il y a fuite.
S’il y a fuite au même endroit, re-couper l’eau pour démonter à nouveau le robinet flotteur, direction le magasin de bricolage pour racheter le modèle identique, ou à défaut, un modèle parfaitement compatible, qui utilise le même système, se visse au même endroit, etc…De préférence labelisé NF, pour éviter d’en changer tous les ans. Compter environ 15 € min. ; 25 € max.
Vous me direz si ça a marché. Si vous avez des questions, précisions à demander, n’hésitez pas.
Emile
ParticipantOui Niel, tout à fait, j’aurais dû parler de commande déportée régulant les cycles de chauffe et non d’un thermostat, comme suggéré dans le premier message.
Je pars donc du principe que vous n’avez pas de module de commande déporté et que votre ballon chauffe en heure creuse, que le chauffe-eau ne se met pas en sécurité.
Connaissez-vous le modèle de votre chauffe-eau ? Sur une étiquette posée quelque part sur le cylindre.
La relation entre le thermostat ballon et température ambiante que vous suggérez est sans incidence significative sur la température de l’eau du ballon.
Quote:problème récurrents en hiver:
Une consommation de 131m3/ an dépasse de toute façon le volume utile journalier d’eau chaude du ballon.
L’eau plus froide en hiver et les besoins en augmentation peuvent révéler des problèmes.
Vous avez détartré ce ballon en 2014 ? Ca semble un problème de mitigation du volume utile. Il faudrait ouvrir le ballon et par ailleurs contrôler la résistance pour en être sûr. Si c’est une stéatite partiellement hs, avec la stratification de l’eau chaude…
Vous pouvez, en attendant, envisager de passer le ballon en marche forcée, si la chauffe est insuffisante, faute de mieux.
Emile
ParticipantLa persévérance a payée, dans la douleur certes, mais content que vos ennuis soient terminés et merci beaucoup d’avoir pris le temps de faire un retour sur le site.
Ballon eau interne à la chaudière ?
Bonjour Ruajose, réponse tardive, j’avais lu le message et comparé avec la doc, en oubliant de répondre. Mais ça avait effectivement l’air d’être ça, notamment le ’50 thermistance sanitaire’. D’accord avec l’opinion sur la doc, quelques confusions et beaucoup de nœuds au cerveau à force de la relire !
Bien sincèrement
Emile
ParticipantBonjour Thomas,
désolé si mon message était un peu nébuleux, je vais tâcher d’être plus clair. Merci d’avoir fourni une photo de votre installation.
Quote:Les 2 tuyaux que l’on voit sur la photo, et sur lequels je comptais me repiquer pour mes nourrices du RDC sont en diamètre 16.
Puis je donc alimenter mes 2 nourrices en 16 ? Inutile de repasser en 20 pour l’EFS donc?Plutôt non, car ils sont en 16 extérieur et qu’il faut du 16 intérieur pour alimenter la nourrice EFS.
Ok pour alimenter votre nourrice ECS.
Par contre, si vous alimentez avec un tuyau de 16mm(ext.) votre nourrice EFS, son intérieur ne fait en réalité que 13mm alors qu’on a besoin d’un diamètre intérieur d’au moins 16mm.Il y a confusion entre le diamètre intérieur et extérieur des tubes à utiliser.
Les calculs indiquent les diamètres intérieurs recommandés, alors que les tuyaux sont appelés couramment par leur diamètre extérieur.Il faudrait alimenter votre nourrice EFS en 20 et ECS en 16 (diamètre extérieur du tube PER signalé int/ext, par ex. 16/20 et 13/16)
Il faudrait ensuite alimenter, depuis vos nourrices, votre évier (efs+ecs) et votre robinet de jardin (efs) en 13/16 ; le reste en 10/12.
Les tuyaux en PER sont définis par leur diamètre extérieur et leur épaisseur, en millimètres :
12 × 1,1 soit 10 mm de diamètre intérieur (12 – épaisseur × 2 = 12 – 2, 2 = 9,

16 × 1,5
20 × 1,9
25 × 2,3Quote:Avant de faire mon piquage, suis je obliger de vidanger le ballon ou existe t’il une astuce pour isoler l’eau chaude, je n’ai pas trouver sur le forum.Je vous avais écris un roman sur les manipulations à faire pour l’éviter, mais tout bien réfléchi, le plus simple est je crois de vidanger le ballon. Autrement, placer un bouchon femelle sur le départ eau chaude du ballon pourrait faire l’affaire.
Le mieux est également de positionner des vannes d’arrêts sur la portion de canalisation avant le ballon, pour simplifier les interventions dessus ou son remplacement. On peut aussi imaginer poser des vannes sur le haut des conduites cuivre d’efs et d’ecs pour que vous puissiez travailler à votre prolongation de réseau sans couper chaque fois l’eau de toute la maison, même si l’eau chaude sera coupée. Question de timing… Autrement, dès que vous aurez raccordé vos nourrices, vous pourrez poser une vanne dessus (si elles n’en sont pas équipées) et donc remettre l’eau sur le réseau initial tout en travaillant à la prolongation.
bref, je ne veux pas vous embrouiller avec les possibilités, mais il faut penser aux interruptions d’eau courante.
Il faudra vidanger l’eau contenu dans la portion de conduites sur laquelle vous comptez vous piquer.
Lorsqu’on entame une conduite, toute l’eau contenue dedans s’écoule.
Il faut préalablement couper l’eau au compteur principal de votre maison, mais cela n’empêchera pas l’eau déjà présente dans les conduites -qui partent vers le RDC et étages- de redescendre et celle entre le compteur et votre point de piquage de s’écouler. Il faudrait donc trouver un moyen de vidanger votre tuyauterie par un point bas.
Ou prévoir quelques eaux et des serpillères.A en croire la photo, il n’y a pas de vannes ou robinets permettant d’isoler en amont cette portion de réseau, pour « raccourcir » la portion d’où l’eau se libèrera.
Je ne sais pas de quel côté et à quelle hauteur vous ferez ensuite partir vos alimentations de nourrice…
Les brasures sont faites à l’étain, il est donc délicat d’orienter les tuyaux à la main, une fois ceux-ci coupés, pour faciliter l’écoulement de l’eau vers un seau. Cela peut faire craquer les brasures. L’étain n’aime pas les chocs, les coups directs, les torsions. Il supporte les vibrations si elles ne sont pas trop intenses.
Si vous êtes un crack habitué à la soudure étain, vous pouvez dé-souder les coudes efs et ecs en point bas et refaire une formidable soudure à l’étain après avoir soigneusement nettoyé votre pièce, car tout est dans la préparation. Mais refaire une soudure étain présente un risque plus élevé, il faut s’y connaître un peu.
Les points les plus secure pour éviter d’endommager les soudures étain restent les sections maintenues par les colliers de fixation. Sachant qu’il faudra probablement les défaire quand même pour faciliter la découpe des tuyaux…
Ou couper vos tuyaux cuivre juste sous l’évacuation PVC gris qui passe derrière vos deux tuyaux en cuivre, en hauteur, pour essayer de placer un seau en dessous, de biais. Cette option signifie travailler en hauteur sur escabeau, à moins que vous soyez de taille.

J’espère avoir répondu à vos deux principales questions. Tenez-vous au courant.
Emile
Participantmithiews wrote:Bonjour et merci pour vos réponseAlors effectivement je ne chauffe que la nuit et mon ballon fait 3kW d’autre part ma conso l’année dernière était de 131m3
Je me demander si une température ambiante élevée pouvait fausser le thermostat ?
Vous avez un thermostat déporté pour votre chauffe-eau électrique ? Style Visualis ?
A priori votre commande ne prend pas en compte la température extérieure, car un chauffe-eau dispose de sa propre isolation qui limite normalement l’échange de calories avec le milieu ambiant. Donc rien à voir, à moins d’avoir 40°C autour du thermostat, ce qui va faire délirer l’électronique. La commande facilite juste la programmation des cycles de chauffe du ballon en fonction des habitudes.Si vous avez la possibilité de vérifier que votre résistance de chauffe-eau consomme effectivement 3kw, ça serait une information supplémentaire. Les points à contrôler cités deux messages plus haut sont clairement à vérifier.
Emile
ParticipantBonjour,
si je comprends bien, vous avez la possibilité d’installer une chaudière ventouse en remplacement de l’actuelle et de raccorder celle-ci au conduit existant ?
Si c’est le cas, le type de tubage est différent. Votre conduit doit donc être suffisamment large pour accepter un tubage circulaire et continu. La ventouse est une chaudière aux conduites d’extraction et d’aspiration entièrement étanches.
La sortie en toiture de votre conduit est lui aussi soumis à la règlementation.
Voir notamment la Norme Pr EN 183, obligeant à fournir les conduits adapté en même temps que la chaudière à ventouse, sauf pour les C6.Si le conduit n’est pas assez large, il peut être si compliqué de l’élargir qu’il vaut parfois mieux envisager d’en creuser un nouveau. Cela dépend de sa forme, de sa longueur, de son débouché…
(J’ai déjà vu des tubages circulaires -et terminés à la aine alu souple…- passés de force dans des cheminées rectangulaires pas assez larges, ce qui n’est pas du tout conforme et ne marche pas du tout, ça réussit surtout à provoquer des erreur de tirage et à flinguer la chaudière…)
Sachez aussi que les ventouses produisent un panache de fumée et que les sorties d’extraction sont plus bruyantes que les chaudières classiques.
Si votre conduit est droit, court et suffisamment large pour accueillir le nouveau tubage spécifique, ça n’est pas à ma connaissance interdit, dès lors qu’il respecte les conditions environnementales, le DTU etc…
Lien externe sur les chaudières à ventouse
Lien externe sur les normes de tubageEmile
ParticipantNon, il n’y a pas d’astuce chimique, c’est même risqué de dissoudre cette bougie par la chaleur car dès que la température baissera le long des canalisations de votre machine elle risque de se déposer un peu plus loin sous forme solide, ce qui sera propice au dépôt d’autres matières et au final à l’obstruction des conduits.
Oui, il faut démonter la pompe et le récupérateur d’objet qui se trouve normalement à proximité, accessible parfois par le devant de la machine.
Le code erreur n’a pas de signification universelle et n’est pas évocateur en l’absence du manuel du modèle de votre machine. La taille de l’objet a pu aussi l’empêcher de passer un coude et il obstrue peut-être simplement le filtre à impuretés de votre lave-vaisselle, qui devrait être démontable, à l’intérieur du caisson de lavage du lave-vaisselle.
Emile
ParticipantBonjour,
matho wrote:Comme il s’agit d’un aménagement d’une partie de ma maison, je me repique sur l’installation existante en cuivre pour alimenter mes nourrices.
Cela ne pose t’il pas de problèmes si le diamètre du per que j’utiliserais pour alimenter la nourrice eau froide est plus important que celui en cuivre sur lequel je vais me repiquer?C’est une information importante, car la nourrice eau froide est justement celle où les besoins sont les plus importants.
Faute de savoir la longueur de l’installation à venir, et la configuration de l’installation originale, je me borne à vous recommander de vous repiquer dans le mesure du possible sur un diamètre au moins équivalent à celui qui alimentera la nourrice. Le risque de ne pas respecter l’ordre décroissant dans le diamètre des tuyaux est un déséquilibre de la pression et une action sur le débit maximum de la section la plus petite en amont. Mais cela dépendant aussi énormément de la pression initiale du réseau et de la longueur de votre installation, je n’ai pas d’autre conseil opportun à vous donner, si ce n’est qu’il vaut quand même mieux repartir sur un réseau conçu en décroissant comme vous avez prévu de le faire.
Cela établira un nouvel équilibre en pression et débit, certes moins efficace qu’avec une alimentation décroissante mais moins dommageable qu’avec un sous-dimensionnement total de la nouvelle installation ; et conserve d’autre part l’opportunité d’utiliser cette portion conçue dans les règles de l’art à l’avenir, s’il était possible de la relier à une alimentation de diamètre au moins égal à celles des arrivées nourrices.
Faute de mieux… C’est un motif de plus pour faire les coudes les plus larges possibles à chaque changements de direction.Connaissez-vous la pression du réseau à l’entrée de votre habitation ? Si elle est de 5 bars, cela s’opposerait nettement aux inconvénients d’un piquage mal dimensionné, sur les pertes de charges.
Il est préférable, si vous en avez la possibilité, de vous repiquer sur un diamètre au moins égal à ceux des alimentations des nourrices (16 et 20).
La question a récemment été abordée ici : https://plombiers-reunis.com/topic3603-augmentation-diametre-tuyau-cuivre.html
Si vous n’avez vraiment aucun choix, cela ne signifie pas pour autant que seul un mince filet d’eau s’écoulera des robinets raccordés, ; mais en plomberie, on va privilégier l’ordre décroissant des diamètres, pour faire en sorte que l’installation soit réellement cohérente avec les débits et pressions attendus. Quitte à faire des travaux…
Merci de vos retours positifs, de votre intérêt et n’hésitez pas à partager ici l’avancée de l’installation !
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