Emile
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Emile
ParticipantBonsoir et merci beaucoup pour ta réponse.
Oui ça parait évident dit comme ça. Je vais tenter. Je ne sais pas si le débit n’est pas déjà au max. Je connais surtout des chauffe-bain sous-dimensionnés mais le client a l’air de dire que ça fonctionnait avant.
J’ai réussi à le dissuader de le détartrer à l’acide et de tenter un entretien et un réglage, ou le vinaigre.Merci pour l’aiguillage. Commençons par le commencement

Bonne soirée.Emile
ParticipantBonjour et bienvenue !
Emile
ParticipantBonjour,
un plombier est un spécialiste des réseaux hydrauliques et l’électrotechnique/électroménager n’est pas notre pain quotidien, même si des pannes peuvent être provoquées par des problèmes de pression ou d’évacuation.
Néanmoins, pour vous aider, il nous faudrait le modèle exact de votre machine, afin de trouver le manuel d’utilisation, le schéma de ce lave-vaisselle, la signification du défaut constaté « H/C ».
De façon générale, un problème d’affichage survenant brusquement peut provenir :
-d’une erreur de programmation (appui sur les boutons, programmation involontaire…)
-d’un dysfonctionnement de la carte électronique de l’appareil
-d’un autre défaut électrique
En l’absence de modification du tableau électrique, il faudrait vérifier que l’appareil n’a pas été programmé ou remis à zéro, s’il réagit correctement ou non par ailleurs…Pour cela, la notice d’installation et d’utilisation seront indispensables. Il faut donc le modèle précis de cet appareil.
Emile
ParticipantSalut, je n’en ai jamais posé. Ca ne se fait pas comme une couronne pré-isolée de fluide frigo pour PAC ? Trop rigide ? J’aurais dit : de la même façon.
Il existe des dérouleurs, autrement…Emile
ParticipantBonjour

Joli parcours, mine de rien. Et joli projet aussi !
Le métier que vous semblez vouloir exercer s’apparente à celui de technicien de maintenance chauffage.
Tout ce qui va suivre n’est que mon avis, ce n’est pas forcément objectif et valable partout.
Je suis passé par là il y a deux ans, pour faire un C.A.P. sanitaire et me permets donc d’apporter ma modeste expérience.
Au départ, je voulais faire de la maintenance en chauffage et il me fallait un diplôme dans la branche pour être éligible à une formation bac pro. Au final, il n’y avait plus de place en C.A.P. thermique et on m’a proposé de faire sanitaire en me disant que ça me ferait de bonnes bases aussi. Pendant l’alternance, j’ai surtout installé et dépanné des chaudières.
Ensuite, j’ai pu exploiter ces expériences pour trouver des jobs de plombier chauffagiste et par la suite devenir responsable CVC dans une boîte d’énergies renouvelables. Je suis assez rapidement parti pour refaire des petits dépannages chez les particuliers. Bref.En résumé : la formation est nécessaire mais pas suffisante à trouver le poste que l’on veut vraiment. Vous avez l’air d’être sérieux, motivé et de bien connaître ce secteur pro. Donc à priori ça roule. Il faut juste être persévérant.
Niel a l’air du même avis. C’est vrai qu’on peut évoluer vite sur le terrain et que les entreprises font plus confiance à l’expérience qu’aux diplômes. En plus ça les arrange de payer quelqu’un à un échelon moins qualifié pour la même productivité
Il y a toujours à apprendre dans ces métiers et les formations permettent de mettre à jour ses connaissances.
Pour une formation, il faut remplir plein de papiers, savoir resté motivé et voir loin. Alors c’est une réelle opportunité de se réorienter.

Cependant, ne jamais oublier qu’on investit ses droits à la formation, c’est le fruit de son propre travail, qu’on a capitalisé et qu’on met en jeu dans une formation qualifiante.
L’EMT : Les stages sont un bon moyen pour l’entreprise de profiter de main d’œuvre (quoiqu’on en dise, même à P.E., ça reste la principale motivation) et pour le stagiaire de se faire connaître d’une entreprise tout en observant le métier de plus près.
Quand on y réfléchit, c’est un passage capital pour un futur employé, ça permet de découvrir les boîtes du secteur, de rencontrer d’autres pro, de s’insérer dans le monde pro.
On peut parfois en faire sur plusieurs périodes. C’est donc un excellent moyen de découvrir un secteur pro, les boîtes du coin, etc.Il ne faut pas hésiter à passer voir les entreprises directement, en se présentant à l’accueil. C’est un gage de motivation et ça permet d’avoir le responsable en direct. En général un patron dans le bâtiment croule sous la paperasse et n’a pas le temps d’examiner toutes les demandes de stage. Des demandes de stage, il en a tous les ans

Donc oui l’EMT, même si on est pas sensé toucher à un outil durant le stage, ce qui n’est pas toujours le cas en vrai.
A savoir, le P.E. rémunère l’entreprise 4€ de l’heure pour vous accueillir, c’est donc tout bénef pour celle-ci et vous avez des droits en tant que stagiaire. Personnellement je n’aimais pas rester sans rien faire ni regarder les autres travailler, et c’était un bon moyen de se rapprocher des professionnels en mettant la main à la pâte. Ca permet au(x) référent(s) qui vous sui(ven)t d’avoir des éléments d’appréciation pour le rapport d’EMT, que l’entreprise doit remettre à P.E. (en général, l’entreprise s’en fiche un peu et ça se fait aussi à l’attitude, si l’entreprise n’a pas eu de problème particulier avec le stagiaire ça sera Ok, mais c’est important pour vous d’avoir le feu vert via le retour de la boîte. Il faut donc qu’elle prenne la peine de s’occuper 5 minutes de l’évaluation et de la paperasse).L’EMT est un dispositif prévu pour confirmer l’intérêt d’une orientation professionnelle.
Elle est plus ou moins indispensable pour monter le dossier concernant la demande de financement de formation.
P.E. s’assure ainsi que le projet de formation est sérieux et valable.L’EMT et l’action de formation : La demande de formation prend du temps. J’avais fait une EMT en mars et suis rentré en formation à la rentrée de septembre, car les places pour la session de juin en GRETA ont été pourvu en 10 minutes.
Et encore, j’ai eu du bol et je me suis démené pour fournir tous les docs et manifester ma motivation auprès du conseiller.Concrètement, il faut le convaincre que cela vaut la peine de croire en votre projet par une attitude volontaire.
De toute façon, c’est ce qu’il faut pour démarcher les entreprises quand on recherche un stage. Ca s’apparente à trouver un job et il faut vraiment se ‘prendre’ pour un futur pro.Concrètement, il y a plusieurs organismes de formation. Souvent les P.E. et les missions locales partagent les places, qu’il faut aussi attribuer aux personnes s’inscrivant sur initiative personnelle sans accompagnement particulier ( n’importe qui peut suivre une formation du moment qu’il la finance).
L’inscription se fait en ligne sur serveur privé régional. Les inscriptions à une session se fait à une date qui n’est connue que très tard par les organismes d’accompagnement vers l’emploi. Ils sont donc en concurrence pour placer leur poulain dans une session. Chaque conseiller se connecte dessus en même temps dans l’espoir d’avoir une place.
Le nombre de place dépend de la situation régionale, bien sûr (enveloppe annuelle pour l’insertion professionnelle /nombre de bénéficiaires / nombre de session de formation professionnelle dans les greta, afpa, cfa…)
Comme vous avez des droits à la formation, ce n’est pas la région mais bien le P.E. qui financera.il faut juste vérifier que vous aurez des ressources financières pendant toute la durée de la formation.
Une formation adulte dure grosso modo un an, 10 mois…Quelle formation pour quel métier :
C’est bien sûr le plus important.
Il y a tellement de formation proposées…Le fait que vous ayez du bagage dans le domaine vous permettra sans doute de mieux cerner l’intérêt d’une formation en fonction du niveau et de la qualification recherchée.Le métier que vous semblez vouloir exercer s’apparente à celui de technicien de maintenance chauffage.
Vous avez peut-être déjà pensé à tout ça, mais il est bien de se demander si, pour trouver le bon job qui correspond et attirer l’attention et la confiance d’une entreprise, est-ce que :
– j’ai juste besoin d’une remise à niveau car je maîtrise déjà les fondamentaux ; par contre les spécificités, réglementation, ont évolué.
– Mes connaissances sont toujours Ok, je me fais confiance et je veux surtout me spécialiser dans un domaine -genre les énergies renouvelables- tout en actualisant mes connaissances sur la réglementation et les procédés en vigueur ?
-je veux obtenir l’échelon de qualification supérieur ?Et du coup, quels fonctions en entreprise correspondent aux qualifications obtenues que j’ai envie de mettre en œuvre au quotidien ?
Le technicien chauffage de grande boîte de maintenance ne fait presque pas le même boulot qu’un technicien de maintenance en institution publique. On peut travailler sur de la petite ou de la grosse puissance, ne faire que de l’installation, seulement des dépannages, ou dépannage et installation…
Est-ce que je veux faire de la régulation sur des installations commerciales ou bien dépanner des chaudières/CE solaire chez les particuliers ?
Est-ce que je veux travailler dans un grand groupe ou une petite société ?
La Formation proprement dite : Si on me dit technicien de maintenance en chauffage, j’aurais tendance à penser à des formations de ce style (mes infos datent de deux ans et sont donc peut-être périmées)
CAP installateur thermique (vous l’avez déjà et vous avez du métier, donc non…) on voit surtout de l’installation, beaucoup moins la maintenance…
Mention Complémentaire maintenance en chauffage : avec un CAP dans la branche on peut accéder à cette mention. Elle est plutôt destiné aux pro qui veulent juste dépanner de la chaudière chez les particuliers et permet d’avoir de bases opur intervenir sur pas mal de machines actuelles.installateur thermique et sanitaire en AFPA ou GRETA (permet de réactualiser ses connaissances, ça n’est pas un C.A.P. au sens de diplôme délivré par l’éducation nationale, mais c’est bien une formation adulte qualifiante).
Les gens que j’ai rencontré qui avaient fait une formation AFPA étaient souvent compétents et motivés dans leur domaine.
Bac pro TMSEC (Technicien de Maintenance en Systèmes Energétiques et Climatiques)
C’est l’échelon du dessus et les entreprises apprécient ces profils, car la formation est polyvalent en Génie Climatique.
Par contre, il y a des maths, des formules, de l’aéraulique, pneumatique, hydraulique.On peut faire un peu ce qu’on veut ensuite, avec ça et c’est vraiment orienté maintenance.
Comme c’est un bac pro, ça doit durer deux ans.Mais dans la vraie vie, un CAP ou BEP installations thermiques qui se débrouille et est motivé se retrouve souvent à faire le même travail qu’un TMSEC pour ce qui touche au chauffage.
Par contre, faire TMSEC permet de prétendre directement le grade de technicien.
Je pense que vous avez aussi le bon profil et la bonne méthode et vous souhaite tout le succès possible dans cette démarche.
Pour connaître les différentes formations, ne pas hésiter à se renseigner auprès d’anciens ayant fait la formation à cet endroit. Les formations changent un peu selon l’endroit et le moment où on la fait.
Dans mon CFA, il y avait une mention complémentaire chauffage (MC) qui venait d’être mise en place au début de l’année. Des places était donc ouvertes aux inscriptions. En fait, les installations pédagogiques n’étaient pas opérationnelles, l’entreprise prestataire s’était un peu foiré et le temps que les chaudières d’entraînement fonctionnent toutes, l’année état pratiquement écoulée. Les MC étaient un peu dégoûtés car ils n’avaient pas vraiment fait le programme qui serait évalué à l’examen.
C’est le comble pour un centre d’apprentissage chauffage, et c’est sans doute un cas marginal. Mais ça peut arriver.
Il vaut mieux choisir un centre avec de bonnes installations, des profs motivés, etc.
Ne pas hésiter à être exigeant et à se renseigner sur les centres de formation du coin.En général les AFPA ont bonne réputation, pas mal de GRETA aussi.
Voir du côté des mention complémentaire s’il y a des formations intéressantes.
Vérifier s’il y a ou non une formation à l’habilitation électrique basse tension comprise dans le programme de formation.
Elle est valable trois ans.
Une éventuelle habilitation gaz…J’espère que mon expérience vous sera utile. Bon courage dans vos démarches et tenez-nous au courant !

Emile
ParticipantLe serti est autorisé en encastré, il y a une raison.
Il y a toujours un raccord planqué dans la cloison, sauf dans le cas d’une brasure sur cuivre et il s’agit quand même d’un raccord par ‘collage’.
Selon la façon dont on rebouche la saignée et l’ouverture, on peut rendre accessible à une clef de démontage le raccord.
C’est visitable si on rend visitable. Tous les raccords encastrés doivent être visitables, effectivement.Comme elle est démontable, alors on peut accéder au raccord derrière, de façon horizontale et en réouvrant un minimum ou en ne fermant pas complètement l’encastrement.
Emile
ParticipantMerci beaucoup Xan

Emile
Participant-Bon point
-bon point
-bon pointC’est bien d’avoir pris en compte l’important.
Merci de votre retour et n’hésitez pas à venir faire un tour au besoin.
Emile
ParticipantC’est facile et rapide à installer mais s’encrasse beaucoup plus vite, ne favorise pas un écoulement optimal des eaux usées et demande souvent à être collée.
Emile
ParticipantBonjour, si ça fuit avec un seul joint, vous pouvez tenter avec deux joints superposés.
Emile
ParticipantBonjour,
vérifiez que le GRETA propose un diplôme reconnu par l’éducation nationale qui permet ensuite d’exercer la profession réglementée et qu’il ne s’agit pas juste d’une formation qualifiante type certification de qualification professionnelle, mais bien d’un C.A.P.
L’intérêt majeur c’est la formation intensive en un an et la disponibilité de la formation, ce qui n’est pas négligeable en ces temps de crise où même en se démenant on ne trouve que très peu d’entreprises pour miser sur vous après 25 ans.TISEC c’est le top parmi vos choix et c’est actuellement recherché.
Par contre c’est très polyvalent et vous verrez l’installation des systèmes aérauliques, pneumatiques, hydrauliques.
C.A.P. installateur thermique c’est déjà très intéressant, on en bave à travailler l’acier à la main mais ensuite la plomberie parait moins compliquée dans les applications courantes, d’autant que vous saurez installer des chaudières et aurez de bonnes notions en maintenance y compris sur de plus grosses installations.
J’ai fais un CAP installateur sanitaire, alors qu’au départ je voulais passer le thermique, mais ai passé beaucoup de temps en alternance sur du chauffage, ramonage, avant d’enchaîner sur la maintenance en énergies renouvelables.
L’intérêt de l’alternance n’est pas négligeable, car c’est sur le terrain qu’on se forme aussi. Par contre les formations adultes sont très complètes, j’aurais aimé en bénéficier car les gens qui en avaient fait étaient plutôt qualifiés sur l’essentiel, tandis que j’étais compétent sur des choses plus spécialisées ou plus rares.
Mais c’est vrai que c’est en recherchant une entreprise en alternance qu’on se fait aussi les contacts et le panorama des entreprises chez qui travailler ensuite.Bon courage dans vos démarches, ça en vaut la peine et ça se construit progressivement, pas à pas.
Dans tous les cas, n’hésitez pas à en parler autour de vous à des professionnels, des futurs entrants en formation etc.
Il y a de grosses différences entre le descriptif des formations et le parcours réellement suivi.Emile
ParticipantBonjour et bienvenue

Emile
ParticipantBonsoir,
en réalité si vous parvenez à couder sans pincer le tube il sera quand même à l’étroit et sera sollicité à cet endroit là sur votre réseau d’eau chaude. J’ai fait des courbes inférieures, mais sur du plancher chauffant basse température.
Le plastique réagit beaucoup aux variations de températures et se dilate donc nettement, ce qui se traduit par un volume croissant suffisant à déloger les fixations, les radiateurs, les bagues de raccords, compte tenu de la résistance du matériau lui même (le per est résistant).
Donc vous pourrez couder le tube sans le briser, mais il sera sous contrainte et cela présente à terme un risque à ne pas sous-estimer.Après, si vous travaillez avec quelqu’un qui sait mettre en œuvre le per, il pourra peut-être trouver des solutions techniques.
J’ai crû comprendre que votre salle d’eau était petite. Ce qui signifie des petits coudes, surtout en apparent.
L’idéal est de respecter le rayon de courbure (pour limiter les pertes de charge) ou d’utiliser des coudes à 90° en laiton ; le ressort facilite et sécurise la mise en œuvre mais il n’est pas toujours simple à ressortir du tube.
Je crois que dans votre cas, le coudes en laiton sont une meilleure solution pour vos angles. Cela ne règle pas la question du per en saillie/apparent, ni du mou à laisser au tube. Esthétiquement, ça peut être très décevant, sans parler du risque de taper dedans.
Le multicouche serait effectivement une vraie bonne solution : seul inconvénient, le prix des raccords à sertir.
Emile
ParticipantBienvenue !
Emile
ParticipantOui, question de sécurité, si on l’autorise des malfaçons dans la pose provoqueront à coup sûr des dégâts.
On peut brancher plusieurs CE en parallèle ou en série (pas en collectif) oui.
Mais en série, ça ne donne pas toujours le résultat escompté. L’eau du 1er ballon se refroidit au fur et à mesure du tirage et vient se mélanger à l’eau du second ballon, qui reperd des calories à tout réchauffer.
Il y a risque que vous deviez alors avec ce montage attendre que les 200 L d’eau soient écoulés, avec 2/3 d’eau tiède, avant de tirer sur le second.En parallèle, vous chauffez et consommez l’énergie de deux ballons piqués sur un même réseau.
En série, l’eau du second se verse dans le premier et vient mitiger l’eau.
On peut avec des vannes, transformer un montage série en parallèle mais quoiqu’il en soit, ça fait beaucoup d’activation manuelle. Donc pour un usage quotidien, un 300 L serait évidemment plus économe.Il faut également trouver une solution pour limiter la dépense énergétique et ne pas faire fonctionner les deux CE plein pot chaque jour. En mettant deux contacteurs manuels, en prenant un abonnement HC/HP, …
La solution la moins compliquée serait de réviser la place disponible au sol et de re-réviser l’agencement, ou de déplacer le ballon à un autre endroit, en isolant bien tous les tuyaux ; et d’attendre un peu que l’eau chaude arrive.
03/03/2015 à 23h53 en réponse à : Groupe de sécurité (neuf !) qui fuit alors que la pression est ok :-| #38921Emile
ParticipantD’accord.
Merci pour les examens complémentaires.Une vidange chasse éventuellement une petite particule coincée ; si le ballon a beaucoup de dépôts au fond, vers l’arrivée du groupe, elle en charrie autant au passage, lors de l’écoulement par le corps du robinet, qui se ré obstrue donc.
Pose un réducteur de pression ne fera pas de mal à votre installation, mais je recommanderai d’abord une vidange totale de la cuve (opération qui ne se fait en principe pas en tournant simplement le bouton rouge…) du chauffe-eau suivi d’un nettoyage (remontage d’un joint neuf pour environ 10 €), puis une mesure de la pression du réseau avec un appareil fiable, ou à défaut une série de mesures de pression permettant de constater des valeurs moyennes, autour de 3 bars ou autour de …Beaucoup plus.
-L’eau qui coule en continue est-elle chaude – au moins tiède – ou franchement froide ?
-S’agit-il d’un goutte-à-goutte tirant vers le filet d’eau en continue, ou d’un écoulement franc comme celui d’un robinet très légèrement entrouvert ?-Avez-vous récemment constaté par ailleurs une pression plus importante aux robinets de l’ensemble de la maison ?
02/03/2015 à 22h28 en réponse à : Groupe de sécurité (neuf !) qui fuit alors que la pression est ok :-| #38919Emile
ParticipantBonsoir,
merci pour votre question bien renseignée. Vous avez eu une démarche méthodique et pertinente.
Où avez-vous pris la mesure de la pression d’eau chez vous ? Sur un robinet en hauteur ou au plus près de l’arrivée d’eau ou de votre chauffe-eau électrique ?
Quoiqu’il en soit, il est rare mais pas impossible d’avoir autour de +6 bars dans le réseau. C’est le cas dans mon entourage, à la campagne.
J’ajouterai que si le ballon n’a pas été détartré, vous avez un joli sablier juste au-dessus du groupe et que chaque groupe neuf verra sa soupape coincée par des particules solides de calcaire et diverses autres.
Si l’eau est dure, et en fonction de ce qui traîne dans les canalisations d’arrivée d’eau, cela peut jouer aussi.
Jeter un oeil dans le ballon à l’occasion.
Emile
ParticipantBonsoir, non pas de mal et pas d’interdit à « l’empilement », ça peut jouer un peu sur les pertes de charges de l’installation.
Ca doit rester démontable et facile d’accès sans…Tout démonter !
Emile
ParticipantBonjour,
Gardez-en au moins un.
Si vous avez démonter votre raccord et avez branché en direct, pourquoi ne pas en profiter pour refaire l’étanchéité du raccord qui pose problème ? (A moins qu’il ne soit endommagé par l’âge ou accident ?)
En tous les cas, ça n’est pas bien cher même en grande surface de bricolage.Les matériaux de synthèse (per) et le laiton atténuent le couple galvanique, mais si votre installation est raccordée à la terre et qu’elle comporte des robinets en métal, il peut y avoir courant électrique entre la terre et l’eau.
Votre cuve est en acier et comporte une anode sacrificielle, et au bout il y a les robinets en métal, les flexibles etc.Je n’ai pas vérifié par moi-même à l’heure actuelle l’état d’une installation complètement en per et d’une chauffe-eau sans aucun raccord diélectrique.
Certains fabricants de chauffe-eau recommandent de poser un raccord di-électrique sur chaque sortie du chauffe-eau, comme c’est le cas chez vous.
Sources :
http://www.cuivre.org/contenu/dossiers/print_dossier.php?num=57&mois=MARS&annee=2002
Ce document, page 6 et page 10 http://www.apper-solaire.org/Pages/Fiches/Ballons/Preconisations%20d%20installation%20ballon%20ECS%20face%20a%20la%20corrosion%20galvanique/index.pdf
02/03/2015 à 22h00 en réponse à : Pour résidence secondaire:plancher chauffant circuit eau ou électrique #33659Emile
ParticipantOn peut connecter un plancher chauffant, qui restitue la chaleur, à différentes sources de production de chaleur : des panneaux solaires seuls ou en appoint de chaudière par exemple…Une chaudière à pellet…
Les pacs sont bien quand c’est bien étudié et bien posé. Les géothermiques sont le top en terme d’économie d’énergie.
Mais ces sources dépendent pas mal du lieu de l’habitation.
Emile
ParticipantBonsoir,
oui, il y a les diamètres de tuyaux et les diamètres de raccords. Cela dépend de ce que l’on veut y raccorder, et aussi des pertes de charges ; Si l’arrivée d’eau en 25 se branche sur une nourrice en raccord 1″, aucun intérêt de la sertir en 3/4 pour y ajouter une pièce laiton en plus pour l’adapter au filetage de la nourrice en 1″, à moins que cela permette de visser dévisser deux raccords fixes. Mais dans ce cas autant sertir en 1″, prendre un manchon égal ou mâle femelle en 1″ et raccorder à la nourrice en 1″ femelle : ainsi, moins de perte de charge au passage de l’eau dans les raccords. Car toute pièce rajoutée joue sur les pertes de charge.
Autre exemple :Un écrou libre en 26/34 1″ pour tuyau de diamètre 10 en cuivre n’existe pas, par exemple. Si l’on voulait en faire un, ce qui serait nul en terme de conventions et d’intérêt, Il faudrait prendre des réductions, pour passer de 3/8 à 1/2 puis 3/4, puis 1 « .
Emile
ParticipantA ma connaissance, le principe de regrouper les départs, vannes, en un seul endroit est utilisé en particulier et collectif, (donc « nourrice ») mais le coffrage est généralement réalisé indépendamment. A l’image du regard de compteur.
Il n’y en a pas de prééquipé. On trouve simplement des trappes de visite, regard pour évacuation, compteur, en pvc , béton…
En neuf, le coffrage est généralement réalisé par le plaquiste ou le plombier.
Les dimensions ne sont pas standards, selon la taille de la nourrice.En espérant avoir répondu à la question.
Emile
ParticipantMerci beaucoup d’avoir pris le temps de livrer le fin mot de l’histoire !
Emile
ParticipantBonjour,
Cela n’a pas vraiment en soit d’impact sur les charges, qu’elles soient de copropriété ou hydrauliques…
en se dilatant et en se rétractant sous l’effet des changement de température, les tuyaux prisonniers des colliers ou en contact avec d’autres matériaux (dans le passage d’une cloison par exemple) provoquent ces bruits.
Donc la cause est probablement un changement rapide de température du métal qui pousse sur les éléments autour de lui jusqu’à ce que ceux-ci changent de place/volume par saccades, lorsque la pression devient trop forte. Ce sont les tics tics tics que vous entendez.Le même phénomène se produit pour les plaques tectoniques en géologie.
Il faudrait examiner chaque collier de l’ensemble du réseau et chaque passage où les tuyaux sont en friction pour éliminer la cause de ces bruits. Les colliers de fixation isophoniques comportent un caoutchouc intercalé pour justement laisser la dilatation se faire sans forcer.
Comme c’est le changement trop rapide du métal sous l’effet de la chaleur qui est le phénomène initial provoquant la pression, on peut aussi envisager de modifier la courbe de chauffe de la chaudière afin de maintenir davantage une température stable.
Dans les deux cas, comme le dit Niel, c’est une investigation longue et fastidieuse lorsque le réseau est important, qui a elle un impact sur les charges syndicales.
Emile
ParticipantBienvenue !
Emile
ParticipantIl faudrait vérifier les appareils ; j’ai trouvé un joint coincé parallèlement à la conduite dans le raccord sur un compteur divisionnaire comme ça une fois.
Emile
ParticipantEffectivement, la portée est conique et non plate, ce qui invalide mes histoires d’adaptateurs.
Emile
ParticipantBonjour,
il existe des adaptateurs, ce que l’on appelle des réductions ou mamelons (réduits)
de type 17/23 mâle et femelle 20/27.J’en ai trouvé en commande sur internet en tapant votre recherche.
Vous pouvez aussi transformer au besoin un raccord mâle en raccord femelle et inversement, avec un raccord mâle-mâle ou femelle-femelle ; par contre cela prend peut-être plus d’espace que vous n’en disposez actuellement dans la configuration.
Vous pouvez aussi vous rapprocher d’un grossiste en fourniture de plomberie pour lui poser la question. Il est clair que ce genre de pièce ne se trouve pas forcément en grande surface de bricolage.
Emile
ParticipantBonjour, vous parlez de lessive, cela a-t-il un rapport avec une machine à laver ?
Autrement, le tartre peut diminuer le diamètre des conduites d’eau, notamment en sortie où il se dépose et provoquer des sifflements au passage de l’eau comme de n’importe quel fluide, à l’image de l’air dans un harmonica.
Merci d’avance pour vos réponses à nos questions, pour situer le problème.
Emile
ParticipantBonjour,
en complément de la réponse très fiable et précise apportée par Jose, j’interviens juste pour préciser que la règlementation n’est pas toujours claire, même pour nous professionnels ; la loi Freddy de décembre 2006 prévoyait en effet la limitation de la température dans la lutte contre les accidents domestiques mais d’autres textes sont également depuis applicables (2008,2010,2012…) et tous ne concernent pas nos réseaux domestiques (ex : règlement sanitaire hospitalier).
En réalité, c’est la Légionelle qui est visée par le règlement sanitaire. Ce qui est maintenant obligatoire est de porter l’eau du chauffe-eau à au moins 60 °C pour inhiber ou tuer les bactéries, ce qui engendre un risque de brûlure au robinet, particulièrement pour les personnes âgées et les enfants (peau fine).
L’installation d’un mitigeur permet de limiter à 50°C cette température, en sortie de ballon. Il est à ma connaissance obligatoire en établissement collectif et simplement recommandé chez les particuliers.
Il est par contre obligatoire de ne pas installer directement les conduits en P.E.R. sur un chauffe-eau dont l’eau est donc très chaude, mais de le raccorder avec un élément intermédiaire autre que le raccord diélectrique ou laiton, donc une portion de tuyau de cuivre ou alors un mitigeur thermostatique/limiteur de sécurité/limiteur de température.
Deux choses sont certaines :
-La légionelle prolifère particulièrement dans les circuits d’eau chauffée mais si la lutte est obligatoire, le risque est quand à lui à pondérer puisqu’elle se transmet par voie respiratoire via la « vapeur d’eau » et non l’eau liquide en contact avec la peau.-raccorder un ballon (qui chauffe donc à +60°C) directement au P.E.R. dilatera les conduites qui s’échapperont des bagues de raccord, avec grosse fuite à la clef. Préserver le P.E.R. de la chaleur est obligatoire dans les D.T.U. plomberie depuis 2012.
Donc le limiteur est un bon compromis face à ces contraintes, mais pas sûr qu’il soit obligatoire en soit d’en poser un.
(Et en tout cas, il faut le poser sur l’eau chaude, pas comme chez une amie où il était posé sur l’arrivé d’eau froide…) -
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