protestant90
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Rebonjour, J’ai rendu visite au site DE DIETRICH. Il y est clairement précisé que la fonte de cette gamme de chaudière est une fonte eutectique qui est extrêmement sensible aux composés fluorés et autres agents lessiviels agressifs. La chaudière doit être installée dans une chaufferie dont l’entrée d’air se fait depuis l’extérieur et qui ne contient comme seul appareil que la chaudière et ses accessoires (pas de machine à laver, pas d’étendoir à linge, surtout pas de réfrigérateur ni de congélateur……….) La garantie qu’accorde DE DIETRICH sur ses appareils ne saurait être accordée en pareilles conditions.
Bonjour, Vendues sous le label DE DIETRICH est-ce une fabrication DE DIETRICH ? Votre éclaté ne mentionne t’il pas que cette chaudière est construite indifféremment pour plusieurs combustibles et que l’on doit ajouter des équipements suivant le combustible? De même on doit ajouter ou supprimer les turbulateurs suivant le combustible et le tirage de la cheminée de façon a obtenir une température des fumées qui évite les dépôts de suie ou bistre (suivant le combustible) . Le joint de porte peut s’acheter en magasin de bricolage ou en quincaillerie, ainsi d’ailleurs que la colle qui permet de le maintenir en place. Si la chaudière est construite suivant le cahier des charges tel que DE DIETRICH le pratiquait à NIEDERBRONN dans les années 1970, vous n’avez aucune crainte à avoir face à la corrosion de la fonte. C’est généralement les écrous de liaison des éléments qui cèdent prioritairement.
Bonjour, concernant les turbulateurs, deux ont été supprimés pour favoriser l’évacuation des fumées à une température suffisante (en fonctionnement normal, ce qui n’est pas votre cas actuellement étant donné que vous n’habitez pas la maison) pour éviter la condensation à l’intérieur de la chaudière, et donc éviter la condensation à l’intérieur de la chaudière, et donc éviter la formation d’acide sulfurique et donc éviter la corrosion.
Bonjour, fonte ou acier? Si c’est une chaudière en fonte, l’intérieur devrait être garni de quelques briques réfractaires (en tous cas au moins en face du brûleur) là où la flamme impacte, ou d’une nappe en matériau réfractaire. La combustion du fuel, particulièrement si aucun réglage d’optimisation n’a été pratiqué laisse un dépôt de soufre sur les parois. Ce dépôt, particulièrement dans votre installation sans vanne trois voies et fonctionnant à minima, où la chaudière ne dépasse pas les 40°C est mélangé à l’humidité de l’air et à la vapeur d’eau condensée de la combustion et fabrique (eau + soufre) de l’acide sulfurique-vitriol particulièrement corrosif. Un réglage d’optimisation de la combustion, un nettoyage ramonage de la chaudière dès la fin de la saison de chauffe et l’introduction dans le foyer d’un absorbeur d’humidité en période de repos (sans oublier de mettre une grosse pancarte sur l’interrupteur interdisant la remise en service) pourraient réduire la corrosion.
Bonjour, je suis de l’avis de sergi00 : l’entartrage. Cet entartrage peut se localiser sur l’aérateur ou dans le mécanisme du robinet, diminuant le débit d’eau, ce qui provoque sur votre vieux chauffe-eau dépourvu de micro accumulation un arrêt de la fonction chauffage. Il faut aussi savoir que dans ce matériel, il y a un filtre grillagé à l’intérieur du bloc eau-gaz, filtre susceptible de se boucher de petits cailloux ou morceaux de métal avec le temps et d’entraver le débit. Si le puisage est proche du chauffe-eau, l’appareil le ressent moins que si le puisage est lointain.
Bonjour, Non Dani, ce n’était pas de l’ironie, c’est simplement un constat. Nous vieillissons tous mais refusons de l’admettre à partir d’un certain âge. J’ai donc suivi ton conseil et après avoir disjoncté au tableau électrique les 3 disjoncteurs reliés à la PAC, j’ai retiré les vis du module extérieur qui maintiennent la carrosserie.
Je découvre les nombreux habitants qui s’y sont installés: escargots, insectes et arachnides qui y ont construit de nombreuses toiles. J’attends les 10 minutes recommandées car il y a sans doute des condensateurs qui doivent perdre leur charge et je vérifie le serrage des vis du bornier.
Tout est bien serré, rien à redire. La curiosité me pousse à jeter un œil à la carte électronique. Pour cela il faut soulever la tôle qui couvre le carter du circuit électronique. Sur cette tôle est clairement emboutie (l’information ne se perdra pas dans l’humidité extérieure) l’information qui dit que l’on est en haute tension.
On voit sous ce carter un radiateur de refroidissement de composants du circuit d’une taille assez impressionnante ce qui signifie que quelques composants chauffent.
L’intérieur du carter est un endroit abrité, chaud et sec, propice au séjour d’une araignée qui s’est introduite et a probablement créé un court circuit. Si ça intéresse quelqu’un, j’ai quand même fait une photo.
Bonjour, concernant les joints toriques, il en existe de plusieurs qualités. L’un des matériaux est le « vitton » . Ce matériau est plus résistant que le caoutchouc de base, vieillit mieux et résiste plus longtemps au sectionnement.
Bonjour, Et merci Dani de la suggestion des connexions qui se desserrent. Avec l’un de mes fils ingénieur électricien qui me le serine à longueur d’année suite aux pannes qu’il est amené à détecter et solutionner dans les machines de son entreprise dans le monde entier, comment n’y ai-je pas pensé moi même. En plus sur une machine vibrante (le gros ventilateur de l’unité extérieure) et dans l’humidité et les variations énormes de température. Les serrages des câbles sont une des principales pannes que l’on rencontre dans son monde industriel. Je me rends maintenant compte que je vieillis et que ma réflexion n’est plus aussi alerte qu’autrefois. Heureusement, il y a « Plombiers Réunis » pour combler mon cerveau lacunaire. J’étais parti sur une autre idée, les condensateurs de protection des surtensions auto-cicatrisants. Mais je vais d’abord penser à resserrer les câbles.
Bonjour, j’ai ouvert un nouveau post pour une PAC ATLANTIC ALFEA-EXTENSA . L’ « erreur 370 » qui s’est affichée et a arrêté le fonctionnement de la PAC (dont nous ne nous sommes rendus compte que trois jours plus tard en raison de l’inertie de la maison) est survenue probablement suite à une surtension réseau électrique. Le voisin a eu le matin où j’ai entendu une déflagration (un coup de fusil) sur l’unité extérieure, la bougie (une résistance)de son poêle à pellet (pourtant presque neuve) qui a brûlé. l’erreur 370 concerne l’unité extérieure et met en panne l’ensemble de la PAC. Cette unité extérieure est une FUJITSU WOYA 060LDC . Pour être informé du problème que cette unité avait rencontré, il aurait fallu en enlever le capot et interpréter le message donné par le clignotement de deux leds, ce que nous n’avons pas fait. Mon fils en détresse s’est contenté de couper l’alimentation électrique des modules intérieur et extérieur en disjonctant ceux-ci au tableau électrique (peur d’un incendie) . La panique passée, il a remis les appareils sous tension et après une réinitialisation (comme à la mise en service) l’ensemble s’est remis en fonctionnement et l’erreur signalée a disparu du tableau de bord. Nous avions perdu dans l’habitation 5°C qui ont été rattrapés en 36 heures . Effectivement, s’agissant d’un plancher chauffant, la température de l’eau qui y est envoyée ne dépasse pas les 30°C, une sécurité pour la santé de la circulation sanguine dans les jambes des habitants
Bonjour, pour ce que j’en vois, il s’agit de l’unité extérieure bien protégée d’un modèle qu’il me semble avoir vu chez une amie, modèle air -eau . Chez mon amie dans le sud Alsace, contreforts du Jura mais encore à basse altitude, elle vient en relève (âge oblige) d’une chaudière bois (brûle paille) qui consommait beaucoup et vite. L’équipement de la maison est fait de radiateurs fonte et franchement je n’imaginais pas que la PAC puisse chauffer une telle maison (grande et assez mal isolée) et pourtant ça le fait. Sûr, elle est âgée et a gardé sa chaudière bois. Pourtant en février 2017, malgré le froid intense qui a duré plusieurs jours elle n’a pas relancé sa chaudière bois. Mais si j’ai posé la question des PAC, c’est parce que je suis confronté à un mystère sur la PAC de marque ATLANTIC, modèle ALFEA-EXTENSA DUO+ qui fonctionne très bien depuis un peu plus de quatre ans sur un plancher chauffant dans un pavillon urbain en Poitou. Le pavillon récent est très bien isolé et la PAC est l’option idéale dans cette région au climat océanique pour qui a les moyens financiers de se la faire installer. Je vais ouvrir un autre post avec en titre l’intitulé de la PAC et le problème rencontré. Merci X Niel.
Bonjour, un siphon standard est rarement efficace plus de huit jours dans sa fonction d’obstruction à la remontée des mauvaises odeurs s’il est rempli d’eau. Il est possible d’augmenter ce temps de huit jours à huit semaines en introduisant dans le siphon une ou deux cuillerées d’huile et une ou deux gouttes d’huile essentielle d’un arôme qui vous sied.
Bonjour, oui les supports métalliques perturbent la réception des ondes radio dans certaines configurations, mais vous devez avoir une pile dans l’émetteur. Êtes-vous sûr de la puissance qu’elle fournit (pas le voltage mais l’ampérage) . Des piles rechargeables fournissent souvent un ampérage insuffisant dans le temps.
Bonjour, ah oui, un vrai problème de plombier. Est-il possible qu’en raison de la qualité de l’eau chargée en sable ou calcaire se soit formée une bille qui obstruerait la canalisation en se déplaçant ?
bonjour, Oh combien il aurait été intéressant d’avoir une photo où l’on aurait vu la vanne jaune et les deux vis!
Bonjour, aujourd’hui les chaudières gaz ne s’allument plus à partir d’une veilleuse. Il faut donc un train d’étincelles (la seconde de crépitement que vous entendez) pour allumer le brûleur. Pour peu que la chaudière soit installée sur un corps creux qui fait office de caisse de résonance, le bruit émis devient vite gênant.
Bonjour,
Quote:La chaudière est donnée pour 52db en puissance max.À mon avis, il s’agit du bruit émis en fonctionnement et pas spécialement du bruit d’étincelles émis au démarrage et qui vous dérange pendant une seconde. Toutefois, si le bruit en fonctionnement vous importune, 3dB en moins, ça compte.
Bonjour, les fumées chaudes redonnent d’abord leurs calories dans une zone d’échange avec de l’eau tiède du retour du circuit et il y a déjà là condensation. Les fumées refroidies au cours de cette première opération contiennent encore des calories qui peuvent être récupérées pour réchauffer l’air d’admission dans le brûleur mais ce n’est pas une obligation. Le tubage souple dans votre cheminée est seulement destiné à éviter que l’eau de condensation des fumées froides ne crée de l’humidité dans les boisseaux ou les briques du conduit, humidité qui traverse les parois et crée des dégâts dans les pièces où passe la cheminée. La sortie sur le toit peut donc être celle de votre photo.
Bonjour, dans les chaudières à condensation, les calories qui partent avec les fumées de la combustion sont récupérées par l’air d’admission qui est ainsi réchauffé. La combustion est optimisée, toutefois le refroidissement maximum des fumées provoque une baisse de température de celles-ci. La fumée, c’est des particules de carbone et de l’eau sous forme de vapeur. À basse température (en dessous de 100°C) cette vapeur se transforme en eau qui coule. Cette eau est en principe récupérée par un petit entonnoir au départ du conduit de fumée derrière la chaudière. Dans un système à ventouse, la sortie des fumées est proche de la chaudière, ainsi la condensation est moins importante. Dans une cheminée classique, vous devrez installer (au moins sur une partie en sortie de chaudière) un conduit d’évacuation-alimentation qui est constitué de deux tubes concentriques si vous souhaitez installer une chaudière à condensation.
Bonjour, un truc idiot, comment se fait-il que sur les photos, les étiquettes des marques de la vanne mélangeuse(EBBE) et de l’accélérateur(WILO) soient à l’envers l’une de l’autre. Y aurait-il là quelque chose de bizarre (montage de la vanne mélangeuse à l’envers? ) . Je ne vois pas de capteur de température de l’eau du circuit ni de thermomètre sur ce circuit.
Bonjour, et puis en relisant dès le début, je m’aperçois que votre installation (donc vos capteurs) ont une dizaine d’années. Un capteur, si vous l’ouvrez, vous verrez un tout petit point noir à l’intérieur, duquel partent deux fils, tout ceci en basse tension (de l’électronique) . Le point noir est une résistance variable (le courant qu’elle laisse passer varie en fonction de la température qu’elle reçoit) . Après dix ans de bons et loyaux services, cette résistance a le droit de bégayer un peu. Dans les anciens capteurs à cartouche à cire, ça bégayait souvent bien plus tôt (quatre à cinq ans) . En plus, il y a la connectique électrique de ces capteurs, qui est sensible aux vibrations de la chaudière (les connecteurs se desserrent) et à l’oxydation due à la basse tension et à l’environnement de la chaudière (même si le capteur fonctionne, l’oxydation modifie la valeur en ohms transmise à l’ordinateur de bord) . Vous pourriez essayer d’abaisser les valeurs des températures qui vous font besoin (par exemple de 19°C à 17°C) pour voir si cette fois votre intérieur est à 19°C.
Relecture de votre message : qu’appelez vous sonde externe et sonde interne. Capteur de température à l’extérieur de la maison, obligatoirement situé au Nord, sans risque d’être perturbé par le soleil ou une bouche d’aération de la maison qui lui crache de l’air chaud. Capteur de température à l’intérieur dans une pièce qui ne reçoit pas de chaleur issue de la cuisson des patates ou d’un poêle d’appoint. Ou bien, les sondes sont celles du ballon ECS et du capot de la chaudière?
Bonjour, À regarder les photos que vous avez jointes, on a l’impression d’être en présence d’une chaudière à granulés?
Si c’est le cas, beaucoup d’électronique au tableau de bord et peu de compétences humaines sur le marché . Voyez les post sur le forum chauffage ou sur le forum bio-énergie.Bonjour, je pense encore à un truc idiot mais qui arrive lorsqu’on ne suit pas une procédure écrite ou répétée plusieurs fois par semaine. Les robinets d’alimentation et de retour du fuel n’ont pas été ouverts à la fin de la procédure d’entretien.
Bonjour, On penserait que le bilan carbone du pellet et son coût financier sont une bonne solution. Les chaudières à pellet rencontrent beaucoup de difficultés par la complexité des systèmes mis en œuvre, leur informatisation à outrance et surtout l’absence de personnel qualifié pour gérer cette informatisation. Nombreux sont ces jeunes qui construisent et convaincus d’écologie se lancent dans le pellet. Quelques troisième et quatrième âge aussi . Le cours du pellet va suivre les cours du fuel et du gaz, vu la demande grandissante. Les chaudières à bois bûche à combustion inversée nécessitent un bois très sec que l’on a des difficultés à trouver à acheter . C’est donc une solution réservée aux ruraux ou aux personnes disposant d’un hangar de stockage. Le poêle à bouilleur si l’on ne s’éloigne pas trop longtemps (24 h ) de son domicile semble un bon compromis . Il est plus gourmand que la chaudière à bûches mais procure l’agrément de la flamme. Il faut tout de même y brûler du bois de deux ou trois ans.
Re re bonjour, je relis encore le message et je vois une régul climatique Siemens rv200. C’est pas ce truc qu’on met quand on a des panneaux solaires qui chauffent l’eau (quand il y a du soleil), eau que l’on doit stocker dans une cuve de 1000 ou 2000 litres et qui redonne les calories la nuit quand il fait tiède ou les jours de brouillard . Par mesure de prudence, avec un brûleur gaz, votre installateur vous imposera un conduit étanche (avec des joints type silicone) directement relié sur l’extérieur à l’horizontale de la chaudière ou ce même conduit dans votre cheminée existante construite en boisseaux si elle est bien verticale.
Re bonjour, En relisant votre texte, je m’aperçois que vous croyez que tous les gaz se valent. Il serait judicieux de connaître l’origine de votre gaz . URSS, Algérie, France (Lacq), pays-bas, gaz de coke, etc….Tous n’ont pas la même puissance calorique. Enfin, sans connaître spécifiquement la marque de chaudière que vous citez, la nature de la chambre de combustion (acier ou fonte) devrait vous inciter à rester circonspect. Si une chaudière fonte supporte parfaitement les basses températures dans le temps, au fil des ans, il n’en est pas de même pour une chaudière acier. Un fonctionnement à plus de 65°C dans la chambre de combustion est impératif pour éviter la condensation et l’oxydation (point de perlite) . Autrefois, on plaçait un récipient rempli de chaux vive dans la chambre de combustion en période d’inutilisation de la chaudière, de sorte à ce que l’atmosphère (atmosphère, atmosphère, est-ce que j’ai une tête d’atmosphère) y reste sèche .
Bonjour, WEISSHAUPT fabrique dans ses ateliers allemands et vend par le biais des installateurs des brûleurs gaz dont la technologie et la fiabilité sont éprouvées et dont le SAV (pour l’installateur) est performant. Votre technique de mesure de votre consommation horaire ou quotidienne de fuel me laisse perplexe. Le fuel change de volume et de densité ainsi que de fluidité en fonction de sa température. Il est moins cher en été car si le volucompteur du camion indique 1000 litres, lorsque ce fuel est refroidi, la cuve n’en contient plus que 900 litres (bien entendu, mon explication est volontairement exagérée) . D’autre part, le fuel froid donc moins fluide dégage moins de calories (c’est pourquoi les brûleurs WEISSHAUPT sont aujourd’hui tous équipés d’une ligne de préchauffage du combustible) . Je ne suis pas installateur et je ne suis pas subventionné par WEISSHAUPT. La société RIELLO de Padoue (Italie, Vénétie) si elle existe encore était particulièrement active dans le domaine des brûleurs gaz (mais je vous parle là d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître -Adieu Charles)
Bonjour, je suis comme sergi00, je pense que vous confondez « gicleur et brûleur ». Démonter le gicleur nécessite de déplacer les électrodes d’allumage. Le remontage de l’ensemble demande d’utiliser des piges et des cales pour que l’emplacement des éléments soit conforme aux données de fonctionnement. Si vous êtes compétent là dessus, vous n’avez pas nettoyé la cellule. Enfin vous devriez avoir un pot filtre externe (filtre translucide) dont il faut changer le tamis régulièrement, même si certains installateurs imbéciles le perforent pour se faciliter la tâche. Dans ce pot filtre, vous pouvez constater la qualité de votre fuel, les matières polluantes en suspension, et même la difficulté qu’à votre brûleur à aspirer le fuel dans la cuve (un vide s’installe lors du fonctionnement du brûleur en partie haute du pot filtre) . Si votre installation a plus de vingt ans (en particulier la cuve) des boues se sont déposées au fond de votre cuve. Pomper ces boues entraîne pour votre brûleur la panne que vous décrivez. Si vous solutionnez le problème, merci d’en faire un bref compte rendu.
Bonjour, si elle oppose de la résistance, c’est qu’elle est saturée de calcaire ou de tartre, ou autres cailloux ou morceaux de rouille suivant votre installation (présence ou absence de cartouches filtrantes à l’entrée du réseau) . Le risque est important de voir les joints toriques arrachés lors de l’extraction. L’entretien annuel ou bisannuel de ces cartouches est indispensable (détartrage et remontage avec la graisse silicone) . La plupart des plombiers, faute d’entretien, ne peuvent proposer qu’un échange de la robinetterie complète.
