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Bonjour,
Non je ne vois pas ce que c’est comme robinet, je connais un des modeles grohe qui de monte d’une facon specifiques avec des vis laterales.
Voici des images.
Ici dans le cas présent j’ai acheté un robinet normal et j’ai remplacé les pièces pour pouvoir monter dans les colonnettes d’origine.
Pouvez vous poster des images de votre modèle pour voir si on arrive a identifier le schmilblick.
Bonjour,
Ludo37 wrote:Puis un deuxième ballon que pour le sanitaire que je mettrai en route lors de l’utilisation des gîtes. Celui-ci sera reliè au ballon tampon principale.Déjà là, il y a erreur. Alors oui, il faut réfléchir mais une validation par un pro (comme le suggère Darius) avec qui on peut discuter (et pas se laisser imposer) et argumenter est indispensable.
Bonjour,
Vous avez de la chance, vous avez de l’Eau Chaude Sanitaire pour faire la toilette et la vaisselle . Et comble du bonheur, vous avez chaud en fin d’après-midi et en soirée .
Il est probable que vous n’avez pas lu correctement et appliqué toutes les directives du programme Netatmo.
Chappée s’occupe de tout et donne de bons résultats si on ne l’empêche pas de travailler .
Modifiez Netatmo avec votre smartphone et informez Netatmo que vous voulez avoir chaud de 0 heure à 24 heure et vous verrez que Chappée vous satisfera. (au moins pour les radiateurs non bridés par les vannes thermostatiques Netatmo) .
Bonjour,
C’est en effet une sacrée entreprise .
Le choix qui avait été fait de l’énergie gaz (probablement propane et pas butane) devait être conditionné par l’emprise de l’installation.
Butane parce qu’il était impossible d’installer des bonbonnes à l’extérieur ?Cela signifierait qu’il vous sera difficile d’installer des ballons tampons à l’intérieur (manque de place)
Cela signifierait aussi d’exclure le chauffage au bois buche, faute d’espace de stockage.
Le chauffage chez vous, c’est deux mois ou six mois par an . Et qu’en est-il de l’ensoleillement? montagne ou bord de mer? Bretagne ou catalogne? températures mini hivernales ?
Parce qu’en cas d’inutilisation, il faut quand même empêcher l’installation de geler .
Alors s’il faut faire trois feux dans trois chaudières à bois, c’est imbuvable.
Une connaissance a installé (pour eau chaude et chauffage) une chaudière à bois qui alimente trois pavillons espacés d’une cinquantaine de mètres, l’ensemble sur une propriété privée. Chaque pavillon dispose d’un ballon tampon. La chaudière est installée dans un quatrième local qu’elle occupe exclusivement. Cette chaudière fonctionne au bois. Mais ni buche, ni pellets. Le propriétaire est issu du monde forestier et exploite les bois d’éclaircie qu’il façonne en stères (un mètre de long) . Il sort ses stères de la forêt et les laisse sécher à l’abri pendant deux ans. Puis il reprend ses stères et les débite en lamelles (tracteur puissant et trancheuse). Il stocke ainsi à l’abri et pour toute la saison d’hiver les lamelles qui sont reprises avec un godet pour charger un réservoir équipé d’une vis sans fin qui alimente la chaudière automatiquement.
Donc une seule chaudière et trois ballons tampons.
Bonjour,
Eh bien c’est mieux le vent que les chauves-souris car ces pauvres bêtes viennent se réfugier tous les jours, dès que la lumière se pointe, dans le même conduit .
Ce qui arrange bien les voisins chez qui elles ne vont pas chercher refuge.
Bonjour,
Il y a mur en brique et cloison en brique .
Dans les cloisons en brique, il y a la brique pleine et la brique creuse .
Dans la brique creuse, il y a la brique de 3cm d’épaisseur et la brique de 5cm d’épaisseur,
Dans la brique, il y a aussi le plâtre qui la recouvre sur une simple face ou sur les deux faces .
Comme l’aurait dit Roland Magdane, Ah ces petits commerçants !!!
Bonjour,
Eh bien au moins c’est un cadeau de Noël constructif .
Pour la « pluie du ciel », vérifiez quand même les passages (Ø) dans la robinetterie que vous achetez. Inutile d’avoir des gros tuyaux si la robinetterie a des petits passages sinon, la pluie du ciel se transforme en sortie de kiki du petit jésus.
Bonjour,
Lorsqu’on installe un réducteur de pression, c’est que l’on connaît la pression du réseau au point de soutirage. On prend ensuite une décision réfléchie : -1- j’installe -2- je n’installe pas de réducteur de pression.
La réflexion, si l’on installe un réducteur de pression, consiste à se poser la question : – Que vais-je alimenter avec mes robinets d’arrosage . Vous seul avez la réponse . Vais-je alimenter des brumisateurs, un laveur haute pression, un arrosage en goutte à goutte, un arroseur oscillant, une douche de bord de piscine, ou simplement laver mon vélo ou remplir un arrosoir.Concernant l’alimentation d’une douche « pluie du ciel » il faut envisager le système qui produit l’eau chaude comme l’élément de départ de l’installation.
Actuellement, la tendance n’est plus de se laver sous la pluie du ciel, mais plutôt sous le kiki du petit jésus.Bonjour,
L’expression « tous les radiateurs » était une image . Une façon d’expliquer que l’on peut augmenter la température d’une pièce et en diminuer l’humidité en augmentant la puissance de chauffe disponible dans le local que l’on occupe, cette situation restant provisoire jusqu’aux beaux jours.
Inutile de risquer l’incendie de lignes électriques probablement vétustes et qui n’attendent que cette demande de puissance supplémentaire pour s’enflammer.
De nombreuses personnes âgées vivant en EHPAD resteront cet hiver confinées dans 15 m², salle d’eau comprise, en raison des contaminations des institutions.
Toutes, heureusement, n’en mourront pas, et pourtant nombreuses sont celles qui ont dépassé les 95 ans.
Sachez enfin que de nombreux « poils à granules » ont des soucis de fonctionnement (vitre qui explose et même « poil » qui explose) .Bonjour,
ourse indique un raccord sphéro-conique.
sergi00 indique une portée plate entre le raccord soudé et l’écrou.
Personnellement, j’ose suggérer un problème de sens dans le mamelon mâle-mâle qui n’est usiné que d’un côté pour recevoir le sphèro-conique . (la goutte d’eau dégouline sur le mamelon mais d’autre part, l’eau a tendance à toujours descendre – sauf dans l’International Space Station : ISS)
Bonjour,
JPhL wrote:Gros problème, cette maison est chauffée par des radiateurs électriques à roulette. Donc très mal chauffée pour très cher.
Je pense que la seule solution compte tenu de la configuration de la maison est un poil à granules .« Le poil à granules » est une idée à bien vite oublier pour une personne âgée. Beaucoup trop de technologie embarquée et de manipulation de combustible.
Placer tous les radiateurs électriques dans une seule pièce (ce qui devrait être aisé puisqu’ils ont des roulettes) et vivre dans cette seule pièce.
Bonjour,
Darius wrote:un mitigeur défectueuxTrès difficile à comprendre pour beaucoup d’utilisateurs qui n’en ont jamais ouvert un.
Chez un cardiologue renommé (un spécialiste des tuyaux) j’ai dû utiliser son panneau montrant le cœur avec les artères et les veines qui le rejoignent pour lui expliquer le problème .
Sa conclusion a été foudroyante : Le chirurgien qui avait fait le pontage était un imbécile.Bonjour,
franfranc wrote:bétises mais il n’y a pas de clapet anti termo-siphon sur la partie chauffage mais il y a en un sur l’ECS.Alors là, le chauffagiste, si votre constat est exact mais on peut en douter fortement a fait fort pour placer un produit inutile . Avez-vous aussi des ampoules de toutes les couleurs et des néons en bas de caisse comme en ont les Jacky ?
Bien entendu, on est heureux de votre découverte à bas prix qui va vous permettre des économies de combustible tout en assurant un confort Douillet (merci David) à votre intérieur.
Bonjour,
Finalement, dommage de reprendre un post ancien sans apporter un retour d’expérience . Qu’a donné l’eau du forage dans le mécanisme du premier WC suspendu (et quelle était la marque de ce mécanisme) .
Les châssis sont posés au sol (et même sur une planche en bouleau de 30mm il n’est pas passé au travers) . Ils sont en plus arrimés en partie haute sur des verticales (madrier ou chevron) qui rejoignent le plancher au plafond pour éviter le basculement vers l’avant de la cuvette lorsqu’on s’assoit(ainsi que les grincements).
Bonjour,
Il y a deux côtés : un côté gazinière et un côté robinet de distribution du gaz.
Sur le côté gazinière comme sur le côté robinet de distribution du gaz, depuis longtemps les tétines sont vissées. Il est donc possible sans intervention d’un plombier de dévisser les tétines et là vous avez un pas de vis standard permettant de poser les tubes équipés de pas de vis. les fameux ROAI.
Par contre, il est possible qu’un tuyau en cuivre ait été ajouté entre le robinet de distribution et la gazinière pour raccourcir le tuyau souple. Un côté de cette rallonge en cuivre a la tétine et l’autre côté le ROAI (du côté du robinet). Dans ce cas, le tube cuivre, même s’il a été mis à la disposition du locataire par le propriétaire ou laissé en place par le locataire précédent est un attribut locatif.
Bonjour,
La plupart des matériels ne durent qu’un temps . Si vous ne l’utilisez pas, ça dure plus longtemps.
Vous avez probablement quelque part sur l’appareil une plaque d’identification avec une date de production du produit.
la lecture de cette plaque vous dira que votre matériel a déjà plus de trente ans. Un bel âge pour un appareil qui chauffe, se dilate et se rétracte au moins une fois par jour: près de 10 000 mouvements et autant pour le joint en caoutchouc que vous n’avez jamais démonté ni changé.
Dans une autre situation et avec une autre pièce en caoutchouc, [………………………………………………Modération]
Démonter, dégripper, dévisser n’est jamais facile et demande du temps que l’on n’a souvent pas car on n’a pas de moyen de rechange. En plus, il faut commander les pièces et en attendre la livraison.
Bonjour,
C’est une loi de la dérive . Alors après la dérive des continents, je propose :
la loi de la dérive du verbe.
Bonjour,
Qui a dit que l’installation n’était plus conforme?
Le commerce vend encore les tubes . Seulement il faut les changer chaque année (ou en tous cas avant la date de péremption inscrite dessus).
Bonjour,
Dani, chef du clan a suggéré un ballon d’expansion défaillant . Lors de votre prochaine vidange partielle qui sera nécessaire pour ajouter le lubrifiant, videz le circuit « verre après verre » soit environ 10 cl à la fois et après chacune des vidanges, écrivez sur un document la pression que vous indique votre manomètre . Si vous constatez une baisse soudaine, c’est que votre ballon est défaillant.
Concernant les produits à introduire, il faut connaître le volume total de l’installation puisqu’il s’agit d’introduire un volume proportionnellement au contenu total de l’installation.
-1-Soit vous y allez au pif (et je dirais environ 200 litres d’après les éléments que vous donnez à moudre) -2-soit vous vidangez totalement si c’est possible (ce qui est rarement le cas puisque les radiateurs sont souvent plus bas que la chaudière) mais si c’est possible, à la fin de la vidange, vous relevez votre compteur d’eau domestique (en particulier les chiffres rouges qui indiquent les litres, les décalitres et les hectolitres) sur un papier. Puis vous remplissez l’installation sans soutirer d’eau d’autre part, et à la fin du remplissage, vous faites un nouveau relevé du compteur (Et là vous avez une mesure exacte) . -3- soit enfin vous consultez des documents en ligne ou sur catalogue qui indiquent la contenance des radiateurs et de la chaudière .
Pour les produits, celui qui se met en avant mais qui est aussi dispendieux, c’est le « SENTINEL » utilisé par les pros qui ont besoin d’une couverture . « SENTINEL » prend en charge les emmerdements.
On trouve des produits semblables ou en tous cas qui prétendent à la même fonction .
Mon installation a fonctionné 17 ans avant que je la vidange pour désembouage avec : « HYDRONET ref: 7517 » de PROGALVA NET & 9 . Et maintenant avec le produit diffusé par BRICO DÉPÖT .Bonjour,
Cette discussion ne dérive pas. Elle a le mérite de mettre en lumière la complexité d’une installation de chauffage et encore plus, la complexité d’une rénovation.
De nombreuses habitations, logements des années d’après guerre et du baby boom se retrouvent sur le marché de l’habitation d’occasion et sont acquis par des jeunes smartphoneurs qui ignorent tout du mode de fonctionnement du chauffage de leur habitation, jusqu’à ce que :-Ils se rendent compte qu’ils bouffent la ferme et que personne ne peut leur venir en aide .
-Ils essaient de bricoler en déparamétrant ou en reparamétrant leur installation, ce qui est souvent impossible.
-Ils essaient d’ajouter un produit mis en avant sur la toile (thermostats intelligents, circulateurs intelligents). Mais qu’attendent t’ils de cette intelligence artificielle ? Comme si ceux qui les avaient précédés avaient été des imbéciles heureux.Et en plus, ils ne sont pas aidés, par manque d’éducation, manque de curiosité avant de rencontrer les problèmes et par une législation qui analyse l’immeuble en vente uniquement sous l’angle de la sécurité (ou presque).
Sans compter les auto-constructeurs qui ne prennent pas même l’attache d’un pro du calcul des besoins en chauffage. Croient-ils tous que l’on est dans une case en Afrique?
Bonjour,
C’est le circuit N°1 qui a été utilisé pour alimenter les radiateurs en liquide caloporteur.
La régulation du chauffage dans l’habitation n’a probablement pas utilisé le protocole V3V mais plutôt des vannes thermostatiques sur chaque radiateur.
Dans ce cas de figure (anciennes installations modifiées au fil de l’évolution des matériels et technologies) , il suffit de réguler la température du liquide caloporteur au niveau de la chaudière. Si la sonde d’ambiance installée dans l’habitation ou à l’extérieur (vous ne l’avez pas précisé) détecte une baisse de la température là où elle se trouve, elle augmente la température du liquide caloporteur.Avec les précisions que vous apportez, on se doute que l’installation que vous avez visitée n’était pas une installation où le liquide caloporteur peut circuler à basse température, et que donc les radiateurs fonctionnaient avec un fort « delta » Δ .
Peu de récupération de calories sur les fumées donc et par conséquent peu d’économies sur la quantité de combustible utilisé.Bonjour,
Le ballon d’expansion (ballon rouge en général) peut être intégré ou externe . Ce ballon est à la construction gonflé à l’azote par une valve de type valve de pneumatique.
Il est généralement gonflé à 1,5 bar mais certains destinés à être installés dans des conditions d’utilisation où le dénivelé est important entre la partie la plus basse de l’installation et la partie la plus haute sont gonflés à une pression supérieure.
Avec 1 bar on assure la pression suffisante du liquide caloporteur pour un dénivelé de 7 mètres.
Pour ajouter du lubrifiant dans le circuit du liquide caloporteur et pour ne pas vidanger toute l’installation, il faut trouver en partie haute de l’installation un point permettant l’introduction du lubrifiant. Par exemple un robinet de purge que l’on pourra démonter .
Bonjour,
En somme, un changement directionnel brutal de la circulation du liquide caloporteur qui suit un déplacement brutal d’une sphère obstruant à tour de rôle l’un ou l’autre des départs vers le chauffage ou vers l’ECS.
Comment diminuer cette violence devient la question.
Si ça accroche au lieu d’être doux, la suggestion d’un lubrifiant dans le liquide caloporteur est à étudier.
Mais aussi, pourquoi tant de pression dans le circuit? un circuit avec un dénivelé de 10 mètres?
Bonjour,
Merci sergi00 d’avoir expliqué aussi clairement le fonctionnement de sa chaudière VIESSMANN à notre ami picoto .
J’ajouterai que VIESSMANN construit de la chaudière acier de qualité depuis plus de 60 ans.
Le matériel a beaucoup évolué depuis le début des fabrications mais du fait de sa grande qualité ce matériel est souvent encore en place.
Pour ne pas obliger le client a effectuer des dépenses inutiles et à tout remplacer VIESSMANN a systématiquement conçu ses évolutions pour qu’elles s’adaptent sur l’ancien matériel.
Ainsi la chaudière UNIFERRAL peut fonctionner avec une régulation TRIMATIK, mais d’autres chaudières peuvent fonctionner avec TRIMATIK et UNIFERRAL peut fonctionner avec d’autres régulations.La documentation TRIMATIK est la documentation de la régulation . Toutes les fonctions ne sont pas forcément branchées sur UNIFERRAL qui reste indépendante .
Bonjour,
Vous ne pouvez pas nous demander si les radiateurs peuvent fonctionner à basse température seulement en indiquant une longueur de radiateur.
Le radiateur fonte s’est décliné en au moins trois épaisseurs, trois hauteurs et autant de longueurs qu’il ne peut y avoir d’éléments puisqu’ils étaient construits, comme les chaudières par addition d’éléments semblables.
De toute façon, basse ou haute température dépend encore du volume à chauffer.
Une seule vidange donc une seule chambre de chauffe. Les circuits sont issus de cette chambre.
Une sonde d’ambiance est prévue pour être installée dans un volume (une pièce de l’habitation) chauffée .
Si une sonde est installée sur un tuyau ou sur la chaudière, elle arrête le brûleur en cas de surchauffe et dans ce cas c’est une sécurité ou elle mesure la température du liquide caloporteur et on peut la régler pour qu’elle stoppe le brûleur à une température donnée, Ensuite on règle le confort avec des vannes thermostatiques sur les radiateurs.Bonjour,
Pour compter les impulsions et les entrer dans un logiciel informatique, il y a du matériel industriel chez Siemens .
Mais comme il s’agit là de domotique, vous devriez entrer en contact avec le « forum électrotechnique »
Bonjour,
Ce que vous documentez est la régulation trimatik de la chaudière.
Surprenant qu’il n’y ait pas un seul thermomètre.
Le potentiomètre de réglage est bloqué à 75°C ou vous pouvez augmenter jusqu’à 90°C ?
Bonjour,
JL wrote:Si la nr 1 se rempli partiellement, sans alimenter la nr 2, le pompage continuera jusqu’à ce que la nr 2 soit vide, même si la nr 1 n’est pas vide.Il faudra juste prévoir l’alimentation en eau de ville de nr 1 en cas de nécessité.
Le raisonnement n’est pas tout à fait correct.
Si la N° 1 se remplit partiellement, elle seule se videra lors du pompage jusqu’à ce que la hauteur barométrique soit redevenue égale dans les deux cuves. Puis le vidage des deux cuves reprendra en même temps.
Il est donc de votre intérêt, comme le remplissage ne s’effectue au commencement du cycle que dans la cuve N°1 de surélever légèrement la crépine dans cette cuve N°1 de sorte à ce que le désamorçage éventuel s’effectue dans cette cuve et pas dans la cuve N°2 .
Un désamorçage dans la cuve N°2 vous obligerait à attendre que la cuve N°1 soit à nouveau remplie et que son trop-plein se déverse dans la cuve N°2 pour redémarrer un cycle d’approvisionnement.Bonjour,
Je comprends mieux vos questions concernant l’indépendance des deux circuits car le discours de la doc n’est pas clair .
Comme l’a écrit sergi00, sur un circuit qui fonctionne par obligation à haute température, on ne récupère pas grand chose.
Sur le circuit 1 = radiateurs, et si ceux ci sont largement dimensionnés, avec la présence de la V3V ou V4V, le retour peut s’effectuer tout au long du fonctionnement à basse température de l’ordre de 25°C pour un départ à 45°C et là on peut récupérer quelques degrés dans l’échangeur sur les fumées qui s »échappent.
Sur le circuit 2 = BEC, en principe une seule montée en température à environ 80°C pendant environ une demi heure et en principe durant la nuit, à une période précédant de peu une demande en chaleur du liquide caloporteur. Ainsi on peut chauffer les radiateurs avec le résiduel de calories disponibles pour le ballon ECS et dans la foulée, récupérer les calories sur les fumées pour le circuit radiateur.
Bonjour,
Vous avez tout à fait raison en ce qui concerne les températures d’utilisation ECS et les risques de brûlure mais si vous lisez les autres posts vous verrez que les équipements ECS comportent une RTA.
La recommandation pour lutter contre les risques de Légionellose est de faire effectuer au moins un cycle hebdomadaire à une température supérieure à 65°C au ballon ECS .
Dans l’Uniferral, il me semble que le ballon ECS est installé au centre de la chaudière et baigne dans le liquide caloporteur.
Et vous avez raison de dire que le liquide caloporteur à une température de 50°C serait adapté pour alimenter la V4V .
Mais là se pose un problème mécanique lié à la corrosion.
La chaudière est construite en acier et pas en fonte . La chaudière fonctionne au fuel et le fuel est très chargé en soufre . À des températures proches de 50°C, le soufre est dissout dans l’humidité de l’air utilisé pour la combustion du fuel par le brûleur. Il se transforme en acide sulfurique qui coule dans la partie inférieure de la chambre de combustion et en ronge l’acier, provoquant une destruction de la chaudière.Si vous postez une photo du tableau de bord de la chaudière, il est possible que le bouton que vous décrivez ne soit que le cache d’un fusible et que le réglage de l’aquastat soit ailleurs.
