lokifree
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(suite)
Vous pouvez consulter cet article pour ce cas :
http://lokistagnepas.canalblog.com/archives/2009/09/15/15082876.html6/ Le clapet antipollution signalé par Ludo est effectivement important, car en cas de clapet de pompe défectueux, le ballon se reviderait dans le réseau (c’est interdit en France pour raison sanitaire).
C’est aussi une sécurité importante pour qu’en cas d’absence d’eau (près des réservoirs notamment pour les nettoyages annuels obligatoires), le circuit ne soit pas désamorcé.Bonne journée à toutes et tous
lokifreeBonjour à tous,
Plusieurs éléments sur le sujet :1/ Le schéma donné est bien entendu correct mais j’y fais un petit complément, le réservoir auxiliaire est aussi avec membrane ou vessie et il se posera le problème des pressions de gonflage de chaque réservoir. Je n’ai pas encore eu ce cas, mais il mérite réflexion, et cela en relation avec les pressions maxi autorisées et surtout avec le réglage du pressostat.
2/ « Tirer » en direct sur le réseau n’est pas bien entendu normal, pour plusieurs raisons. La première est que les joints caoutchouc des canalisations sont très peu étanches à la contre pression et que l’on peut ainsi aspirer de l’eau d’infiltration de la terre qui est à priori polluée ou non potable.
La deuxième raison est que le manque d’eau se traduit par une dépression, mais le mal est déjà fait pour la pompe, car la dépression ne veut pas dire qu’il y a de l’eau. Ce peut être de la dépression d’air. Le seul cas qui me semble pouvoir fonctionner ainsi est celui des habitants proches des réservoirs. Encore faut-il prévoir des sections suffisantes et minimum de 32 mais depréférence en 40 (pour une habitation).
Dans ce cas, les groupes surpresseurs ont intérêt à être positionnés dans une fosse extérieure pour être certain qu’il y ait toujours de l’eau.3/ Concernant le volume et les démarrages, ce n’est pas seulement une question de consommation au démarrage, c’est principalement le problème de l’échauffement du moteur. En effet un moteur est prévu pour un nombre maximum de démarrages à l’heure. Ce nombre maximum permet de ne pas atteindre de températures critiques et de ne pas fatiguer outre mesure la mécanique (roulements) ainsi que la déformations des bobinages.
On calcule donc le volume du réservoir pour respecter ce nombre de démarrages à l’heure, et en fonction des tirages d’eau.
Ce n’est donc pas directement à partir du volume d’eau que l’on calcule un surpresseur, mais bien à partir des conditions moteur.
(Il est cependant certain que le volume utile intervient par le biais des habitudes de tirage et que cela soulage le moteur de prendre des nombres de démarrages à l’heure peu élévés avec de gros réservoirs)4/ Surdimensionner les réservoirs n’est pas toujours une bonne solution, car l’eau doit se renouveler dans le réservoir, car il peut y avoir des développements microbiens.
5/ le schéma idéal est donc de faire avec une bâche (petit réservoir atmosphérique). Il faut cependant que l’eau arrive de façon naturelle à cette bâche. L’eau peut arriver « en pointillés », dans ce cas il faut pomper avec le surpresseur quand la bâche est pleine. L’arrêt de remplissage de la bâche se réalise avec un robinet à flotteur (comme une chasse d’eau)
(Suite sur le post suivant pas assez de place !)Bonjour,
Tout le problème est de connaître la hauteur de votre citerne relativement au chalet (hauteur radier). Il faut aussi connaître la hauteur d’eau maxi de la citerne Il faut aussi savoir si vous devez monter l’eau à un étage par exemple.
De toutes façons, il n’y a pas de miracle, car si les hauteurs sont incompatibles il faudra pomper !
Dans les très grandes lignes et sans rien connaître un MINIMUM de différence de hauteur de 10 à 15 mètres doit exister entre la citerne et le chalet.
« A l’ancienne » il vous reste le broc et le seau si les hauteurs ne vont pas.Meilleures salutations
bricolsecBonjour,
Toto et DANI ont tout dit !
Dani recommande une vanne d’isolement entre le Té et le flexible, et cela sera très utile, car cela vous permettra en plus de changer ou intervenir sur le vase d’expansion sans se priver d’eau chaude, mais aussi de procéder au détartrage à l’air et l’eau sans aucun démontage.
Voir article sur le procédé de désembouage qui permet également le détrartrage des cumulus suivant le type de calcaire déposé.
http://bricolsec.canalblog.com/archives/2009/02/25/12707323.htmlIl faut saluer les superbes schémas de DANI.
meilleures salutations
lokifreeBonjour,
Voilà au moins une possibilité de faire soi-même, si cette chaudière n’est pas un modèle accroché au mur ? (Si c’était le cas, il faut être très prudent).
Il existe une possibilité de détartrage à l’aide de bulles d’air. Ne cherchez pas ailleurs que sur cette page puisque je suis l’inventeur du procédé, et que vous retournerez toujours sur cette page :
http://bricolsec.canalblog.com/archives/2009/02/25/12707323.htmlLe principe en est très simple puisque chaudière remplie aux 3/4 d’eau avec ouverture supérieure de mise à l’air, il suffit d’injecter de l’air en charge en partie basse, à partir d’un petit compresseur équipé d’un réducteur de pression.
Voir cet article pour les limitations et les précautions indispensables.
Le procédé s’adapte parfaitement aux radiateurs démontés ainsi qu’aux chauffe eau si le calcaire est pulvérulent ou n’est pas trop stratifié.
Meilleures salutations
lokifreeBonjour,
A priori, c’est normal. C’est simplement la dilatation de l’eau lorsqu’elle chauffe.
Pour plus d’explications, vous pouvez aussi lire quelques articles sur les groupes de sécurité qui vous expliquent d’autres éléments. http://bricolsec.canalblog.com/archives/2007/08/30/6038437.html
Il y a aussi une pyramide de dépannage si besoin était.
Bonne continuation
lokifreeBonjour,
Je crois que j’avais déjà été en relation avec Kami…J’apporte quelques nouvelles depuis, concernant le désembouage des chaudières. Je n’ose pas parler du désembouage des tuyaux noyés dans les dalles, car je n’ai jamais essayé et cela me parait risqué à cause des conséquences potentielles suite à mauvaise utilisation.
Par contre pour les chaudières radiateurs et tuyauteries apparentes, j’ai trouvé quelque chose de très intéressant, qui est le désembouage à l’eau et à l’air. Le principe est novateur et figure sur mon blog :
http://bricolsec.canalblog.com/ article N° 49Ce serait un peu long à décrire ici, mais vous pouvez l’utiliser avec « discernement et prudence », c’est libre de droits pour les particuliers.
Voilà pour les dernières nouvelles sur le désembouage.
Meilleures salutations
bricolsecBonjour,
Un complément concernant le pré-gonflage du ballon (l’air est autour de la vessie) pour un surpresseur. Il y a lieu de caler cette pression de gonflage EXACTEMENT sur la valeur mini du pressostat. Et non pas à -0.2 bars comme on fait toujours habituellement.
L’explication technique complète est donnée sur http://lokistagnepas.canalblog.com/ article N°39.
Certes la valeur à -0.2 bars fonctionne mais ne donne pas les meilleures performances, et principalement sur le volume disponible du ballon et donc sur le nombre de démarrages de la pompe.
Meilleures Salutations
lokifreeBonjour,
L’écoulement lorsque le cumulus est en chauffe est normal. Cela correspond à la dilatation de l’eau du ballon. Encore faut-il voir si c’est très petit ou un véritable fleuve. D’après les termes, un sifflement indiquerait qu’il ya une vitesse élevée, donc certainement un débit assez faible.
Généralement 1 à 2 litres au maximum peuvent s’écouler ainsi.
Le bruit peut provenir du groupe de sécurité (profil hydraulique du siège et du clapet)
Il ne doi tpas tomber une seule goutte si le cumulus ne chauffe pas. Si ce n’est pas le cas il faut mesurer la pression à l’arrivée d’eau froide.
Vous pouvez consulter « Mon chauffe eau coule » par bricolsec et les articles associés, cela vous aidera à déterminer avec précision votre problème.
Meilleures salutations
lokifree
