vithalys

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  • vithalys
    Participant

      L’aluminium combiné au cuivre crée clairement de forte réaction électrolitique.

      De mon experience dans la distillation (eau/plantes pour des huiles essentielles – ou macérat alcoolique pour eau de vie, egal) avec des alambics en cuivre et des isolations en aluminium (à l’exterieur du cuivre, donc pas en contact avec le liquide !) il se passe d’étranges intéractions électrique.

      Il y a comme un courant, une polarisation qui s’effectue entre les deux matériaux grâce à l’énergie de la chauffe et un échange d’électrons intense. On peut même parfois sentir des petites secousses si l’on touche (alors que c’est chauffé au feu de bois, refroidi avec une eau de source, sans aucune proximité électrique).

      La réaction d’évaporation / condensation s’en trouve également fortement perturbée, c’est justement comme si tout est un peu « electrifié ». ! En tout cas, ayant remarqué plusieurs fois des phénomènes étranges, j’ai abandonné l’aluminium comme isolant (même si c’était bien efficace et ignifiuge).

      Lui même étant fabriqué par électrolyse, il est peut-être moins stable.

      vithalys
      Participant

        Magnifique, merci beaucoup pour cette synthèse ! c’est bien plus simple et j’ai quasi toutes les pièces.

        Je ne comprends pas ce que c’est juste en haut à droite de la chaudière, avant la 1ere pompe, une purge ?

        Pour le blocage electrovanne, j’ai une pompe de circulation qui était sur un système solaire thermique avec des sondes (4 je crois) et tout plein de réglage possible (j’ai pas encore lu le mode d’emploi, mais celui qui l’avait avant m’a dit qu’on pouvait régler les températures) qui doit faire cette fonction. Elle alimentait justement un serpentin de chauffage ECS. Je pensais la mettre en début.
        Ou alors il faut vraiment une vanne qui bloque ?

        Par contre si ça bloque à la sortie de la chaudière et que ça continue de chauffer, ça risque de péter non ? Il ne vaudrait pas mieux laisser circuler et la sécurité injection d’eau s’activera au besoin ? Ou bien mettre la sécurité directement après la sortie de la chaudière, avant la pompe ?

        Ensuite la pompe qui monte aux chauffage, soit mettre une sonde thermostat on/off sur l’eau retour, ou simplement une minuterie à calibrer de temps en temps suivant la saison.

        La sortie de l’eau chaudière et en 1 » pouce sur une, et 1 »pouce 1/4 sur l’autre, je pensais tout faire en 1 » pouce, surtout que j’ai plusieurs vannes / raccord. Est-ce suffisant ? puis pour le chauffage monter / redescendre avec mes nourrices en 22, et chaque étage en 16.

        Pour le chauffage, je me dis qu’un hybride bi-tube, mono-tube sera le meilleur compromis tuyaux / efficacité:
        Je monte droit au dessus du ballon avec un tube 22 jusqu’au dernier étage (purge air au sommet), à chaque étage un T avec une vanne, comme ça je peux séparer / réguler les étages manuellement au besoin.
        Je pars ensuite en 16 en mono-tube (by-pass, j’ai aussi des T de réglage pour les radiateurs), je traverse mon étage, et à l’autre bout j’ai pareil que pour la montée, un tube 22 droit avec T (pas besoin de vanne) qui redescend à travers les étages et collecte le retour des chauffage et repart à la chaudière.

        Le ballon de 620l je ne sais pas comment vérifier s’il est émaillé, mais il était installé pour l’eau chaude d’une salle de bain (branché à l’electrique sur 8kW!) donc je pense que ça doit être bon.

        Petite question qui me reste, la pompe au dessus du ballon de chauffage ne risque t’elle pas d’atirer l’eau qui devrait aller à l’ECS ? Peut-être mettre la 1ere pompe à gauche, après la 1ere vanne qui pars à l’ECS, puisque côté chauffage il y a l’autre pompe ? Je ne me rends pas bien compte comment réagissent ce genre d’intéraction entre pompe.

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