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Tuyaux en cuivre.
Effectivement j’ai envisagé un remplacement de la section en cause par du multicouche, j’hésite juste en me demandant si ce sera efficace et si ce sera le plus simple. Je vais peut-être commencer par essayer de creuser la cloison en bois qui semble faire office de caisse de résonance au passage du tuyau. J’aimerai éviter d’avoir à remplacer la section qui traverse la dalle béton…Absolument, je répare :
C’est une chaudière De Dietrich MCA 25 au gaz de ville que j’ai désinstallée et remise en service en un autre lieu cette année : je n’ai pas la date d’installation initiale qui n’est pas sur la plaque signalétique. Par contre elle a pu subir des dommages dans le transport.
Elle a d’abord fonctionné avec une eau très calcaire, mais chez moi l’eau est au contraire très acide (chauffe eau inox très fortement recommandé).
Bon après réflexion, je me rends compte
1/ qu’il y a 2 mano, donc ce n’est pas un pb de mano
2/ que si j’éteins le chauffage et ferme les vannes qui sortent de la chaufferie pour ne laisser fonctionner que le ballon d’eau chaude (qui est chauffé par un second circulateur utilisant la même eau pour passer dans l’échangeur du ballon) la pression baisse aussi vite
3/ que si je connecte le tuyau d’évacuation des condensats sur un jerrican (20L), il me le fait déborder dans la nuit en perdant ses 2 bars de pression.Conclusion : la chaudière « crache » l’eau du circuit de chauffage par son évacuation, ce qui évite certes l’inondation mais constitue un inconvénient important.
Que regarder en attendant la venue d’un technicien chauffagiste sous contrat après le confinement ?
C’est vrai que le mano a quelques années… Le compteur d’eau est loin, ça doit pas être énorme en quantité à chaque fois (quelques litres) mais au total je me dis que ça se verrait si ça fuyait quelque part…
Je me demande si le fait d’avoir 2 vases d’expansion externes qui ont une pression différente (1,5 et 2 bars) est bien adapté aussi.
Il est vrai que c’est pas donné, mais ça se trouve ! Encore que monsieur N a vraisemblablement intérêt à utiliser un raccord coudé…
En ce qui me concerne j’ai l’idée d’utilier du multicouche en 32, dont j’achète une couronne trop grande pour mes besoins : a priori, ça doit pouvoir s’enterrer aussi bien que le PE, non ?
Le tuyau ne me coûtera « rien » (puisqu’acheté pour d’autre besoins) et le raccord à sertir est… bien moins cher !
Alleauplombier wrote:(…)ou alors un raccord Pe mâle que vous visserez directement sur la vanne avec un joint filasse.M’étant posé la question dans une situation analogue, j’en avais conclu qu’un raccord femelle à écrou tournant était préférable pour orienter la vanne à ma convenance : ne pensez-vous pas que cela est plus indiqué ?
Est-ce que l’épaisseur doit être identique en deça du mm ? Les fournisseurs indiquent l’épaisseur en mm (par ex. 26×3 ou 20×26), la qualité du sertissage est-elle au 10ème de mm près ?
Ca c’est bien ! Par contre je ne trouve aucune référence sur le web qui me semble adaptée : les colliers ou clips correspondent en générale aux diamètres des tubes nus. Je vais continuer à chercher, mais si vous avez un lien vers un produit adapté aux tubes « classiques » (16, 20, 26, 32) ça m’intéresse. Logiquement ça devrait être des diamètres 18, 22, 28 et 34 je suppose…
Note : difficile de trouver des clips « doubles » pour les gros tubes aussi.
Francis wrote:je me dirige vers de la gaine destinée au cuivre. (translucide ivoire).
Cette gaine parait très légère, (…) La gaine ICTA (…)destinée à l’électricité ne serait elle pas plus sûre ?Je me pose la même question dans un autre contexte : je souhaite protéger du multicouche de 32×3 sous la terre et au travers des murs porteurs. Quelle sera la gaine la plus adaptée ? Ais-je intérêt à l’acheter gainé ?
Nouvelle intérogation : les profils.
Ce billet présente les profils TH, H, F, B, U comme les plus courants.
Un vendeur m’a affirmé que le type le plus répandu serait le U, prétendu « universel », et très logiquement celui qu’il vend… Pour lui, le « gros » diamètre extérieur le plus courant du multicouche serait le 25, et non le 26 qui m’a pourtant semblé prépondérant ailleurs, y compris ici même sur ce billet.
En pratique, l’avantage de ce vendeur est qu’il vend à un tarif intéressant l’ensemble du matériel nécessaire, outillage compris, et ce jusqu’au diamètre 32 (moins courant). Ceci dit il doit y en avoir d’autres, et celui-ci a fait quelques mécontents sur la toile. Je me pose donc la question du choix du revendeur en fonction des types et diamètres utilisés, faut-il privilégier le tube 25 ou 26 ? Le type TH ou U ? (voire H, F et B mais j’en ai moins vu…)
Dans l’immédiat pas de problème si le vendeur fourni tout (pince à sertir comprise), mais quel sera le type et le diamètre le plus facile à réparer / modifier dans 10-15 ans ?
Merci pour ce commentaire encourageant, ainsi que pour le cours proposé.
J’y note que dans mon cas le coef de simultanéité calculé par 0,8/(racine carré du nombre d’appareil (48)-1) = 0,11669 = 0,12, voire environ 0,15 avec une assimilation à un foyer de jeunes travailleurs (on en est pas loin)
Qu’est-ce que je fais de cette données ?
Si je la multiplie par le nombre d’appareils (48) j’obtiens 7,00 alors qu’un seul logement (qui n’est donc pas collectif) cumule à lui seul un coef de 2 + 1,5 + 2,5 + 0,5 = 6,5
A moins que je ne multiplie 6,5 par 12 logements et 0,15 ce qui donne 11,7 : un tube 20/26 devrait alors suffire…
Je ne vois en tout cas pas l’usage de ce coef dans la formule de Flammand…. Que je n’ai pas tenté de mettre en application.
