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Vos analyses me font me poser une question.
Vu que le débit d'un gicleur fuel est connu et qu'en général, les régulations climatique indique le temps brûleur. N'est il pas plus simple de multiplier son débit par le temps de fonctionnement du brûleur pour connaitre sa consommation  ?

Bonsoir à toutes et tous.

Premierement je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses sur le fait de vous avoir tutoyer.
Je tutoie facilement, c'est un truc que j'ai attrapé sur les chantiers et en étant modo sur des forums...

Je vais essayer de répondre point par point à vos analyses.

-Au sujet de la marque, je pense que je demanderai directement dans le devis un Weishaupt. Je suis très content du mien.
Je suis plus inquiet en fait sur le type de brûleur.
Voyez vous, mon collègue s'est fait installer un brûleur qui a un nom de voiture bien connue, je sais plus ce qu'il m'a dit, mais malheureusement toujours en default. Il semblerai que ce soit un brûleur à différentes allures, mais la chaudière ne sait gérer que du on ou off. Elle démarre ou éteint le brûleur.
Moralité, il a acheté une usine à gaz qui ne fonctionne pas en modularité mais à deux vitesses. Etenint ou à fond...
Nul.

-Au sujet de la conso, en fait, je m'occupe d'avantage du temps en fonctionnement. Pas du volume débité. Ayant une température constante au sous sol, entre 13 et 15 toute l'année, le débit est relativement fiable, la cuve étant proche de la chaudière
Après, ce que me livre le camion effectivement ça fluctue...
J'étudie la courbe de fonctionnement pour évaluer la rentabilité de la régulation climatique. Cette régulation ne fonctionne pas en relation avec un thermostat intérieur mais une sonde extérieure uniquement. Ayant un poêle à bois, le thermostat s'éteignait, et une sonde interne ne serai pas bonne traductrice des températures de différentes pièces.
Avec cette régulation climatique l'eau de la chaudière est à température convenable et les têtes thermostatiques puisent ce dont elles ont besoin. La chaudière se coupe quand il fait plus de 15 dehors plein nord.

-La chaudière actuelle est en fonte, et disponible neuve en 1999 avec une régulation climatique justement. Mais en option, la mienne n'en fût pas équipée d'origine, mais ajoutée en 2017 par mes soins. Elle peut fonctionner à basse température. D'autant plus qu'elle ne fait plus l'ECS.

-Je vais faire confiance au poseur pour le conduit d'évacuation. J'ai un flexible qui est de 2005 ramoné tous les ans par un pro.

-Au sujet des poêles ou chaudière il y a la question d'autonomie qui m'impose de rejeter les bouilleurs à bûches ou chaudières à bûches. Je veux pouvoir aller au ski ou juste... à l'hopital si malheur arrive, sans me soucier de ma maison qui gèle.
Pour les pellets c'est le bilan carbone à la fabrication qui me questionne un peu, mais le fioul, gaz ou électricité aussi ça polue à la fabrication...
Par contre je suis convaincu que les prix vont monter.

Il me semble que le gaz ou le fioul c'est le même tarif et qu'il y ai l'arrivée du biofioul.

J'étudie, j'étudie.

Sur le bon coin il y a des brûleurs weishaupt gaz d'occasion de particuliers qui ont installés des autres systèmes.
Ça me tenterai bien ça. 300€, je l'installerai moi même sur la chaudière, branchements électriques et fixations mécaniques, et je remet les réglages et les tuyaux à un pro.

Mince je n'ai pas vu que tu m'avais écrit vendredi lors de mon second post.
Je n'ai pas été prévenu. Ou alors j'ai jeté le mail.

Désolé, merci pour ta participation.

Je vais prendre le temps de lire tout cela à tête reposée tout à l'heure. J'ai de la famille avec moi là.
Je te souhaite bonne après midi.
Encore merci.

Nico.

Bonjour, On penserait que le bilan carbone du pellet et son coût financier sont une bonne solution. Les chaudières à pellet rencontrent beaucoup de difficultés par la complexité des systèmes mis en œuvre, leur informatisation à outrance et surtout l'absence de personnel qualifié pour gérer cette informatisation. Nombreux sont ces jeunes qui construisent et convaincus d'écologie se lancent dans le pellet. Quelques troisième et quatrième âge aussi . Le cours du pellet va suivre les cours du fuel et du gaz, vu la demande grandissante. Les chaudières à bois bûche à combustion inversée nécessitent un bois très sec que l'on a des difficultés à trouver à acheter . C'est donc une solution réservée aux ruraux ou aux personnes disposant d'un hangar de stockage. Le poêle à bouilleur si l'on ne s'éloigne pas trop longtemps (24 h ) de son domicile semble un bon compromis . Il est plus gourmand que la chaudière à bûches mais procure l'agrément de la flamme. Il faut tout de même y brûler du bois de deux ou trois ans.

Bien.
Vous me direz si je me trompe, mais si j'ai compris ce que je lis sur internet, 1L de fioul = 1m3 de gaz naturel = faut pas compter dessus pour faire des économies. Ni financière, ce n'est pas le but recherché, ni écologique. Ça a pas l'air terrible non plus en bilan carbone.

Et comme les pellets c'est la production qui ne me convient moyen en terme d'écologie, vais me tourner vers un poêle bouilleur je pense.

Re re bonjour, je relis encore le message et je vois une régul climatique Siemens rv200. C'est pas ce truc qu'on met quand on a des panneaux solaires qui chauffent l'eau (quand il y a du soleil), eau que l'on doit stocker dans une cuve de 1000 ou 2000 litres et qui redonne les calories la nuit quand il fait tiède ou les jours de brouillard . Par mesure de prudence, avec un brûleur gaz, votre installateur vous imposera un conduit étanche (avec des joints type silicone) directement relié sur l'extérieur à l'horizontale de la chaudière ou ce même conduit dans votre cheminée existante construite en boisseaux si elle est bien verticale.

Re bonjour, En relisant votre texte, je m'aperçois que vous croyez que tous les gaz se valent. Il serait judicieux de connaître l'origine de votre gaz . URSS, Algérie, France (Lacq), pays-bas, gaz de coke,  etc....Tous n'ont pas la même puissance calorique. Enfin, sans connaître spécifiquement la marque de chaudière que vous citez, la nature de la chambre de combustion (acier ou fonte) devrait vous inciter à rester circonspect. Si une chaudière fonte supporte parfaitement les basses températures dans le temps, au fil des ans, il n'en est pas de même pour une chaudière acier. Un fonctionnement à plus de 65°C dans la chambre de combustion est impératif pour éviter la condensation et l'oxydation (point de perlite) . Autrefois, on plaçait un récipient rempli de chaux vive dans la chambre de combustion en période  d'inutilisation de la chaudière, de sorte à ce que l'atmosphère (atmosphère, atmosphère, est-ce que j'ai une tête d'atmosphère) y reste sèche .

Bonjour, WEISSHAUPT fabrique dans ses ateliers allemands et vend par le biais des installateurs des brûleurs gaz dont la technologie et la fiabilité sont éprouvées et dont le SAV (pour l'installateur) est performant. Votre technique de mesure de votre consommation horaire  ou quotidienne de fuel me laisse perplexe. Le fuel change de volume et de densité ainsi que de fluidité en fonction de sa température. Il est moins cher en été car si le volucompteur du camion indique 1000 litres, lorsque ce fuel est refroidi, la cuve n'en contient plus que 900 litres (bien entendu, mon explication est volontairement exagérée) . D'autre part, le fuel froid donc moins fluide dégage moins de calories (c'est pourquoi les brûleurs WEISSHAUPT sont aujourd'hui tous équipés d'une ligne de préchauffage du combustible) . Je ne suis pas installateur et je ne suis pas subventionné par WEISSHAUPT. La société RIELLO de Padoue (Italie, Vénétie) si elle existe encore était particulièrement active dans le domaine des brûleurs gaz (mais je vous parle là d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître -Adieu Charles)